Il ne s'agit pas vraiment Vincent d'une ambigüité du terme mais d'une référence à la transitivité qui s'évanouit. Il est clair qu'aucun coureur de jupons ne hante le roman!
Comme le Wittgenstein du Tractatus je perçois le monde comme un ensemble de faits non isolés et bien sûr il en va ainsi d'une traduction.
Quand j'aurai passé trente ans avec Lauzon, comme je l'ai fait avec Ledoux (dont les "camions" de la Comté m'ont toujours perturbé), peut-être alors les Coureurs me donneront-ils autant à rêver que les Rôdeurs... ce que les Rangers feront toujours!
Comme le Wittgenstein du Tractatus je perçois le monde comme un ensemble de faits non isolés et bien sûr il en va ainsi d'une traduction.
Quand j'aurai passé trente ans avec Lauzon, comme je l'ai fait avec Ledoux (dont les "camions" de la Comté m'ont toujours perturbé), peut-être alors les Coureurs me donneront-ils autant à rêver que les Rôdeurs... ce que les Rangers feront toujours!

Dorées les feuilles tombent, mais le rêve se poursuit
Là où l'espoir demeure, les eaux chantent sous la nuit
Là où l'espoir demeure, les eaux chantent sous la nuit