11.05.2013, 07:18
C'est un bon début. OK pour erinqua, orta-, mornië, isilmë. On peut effectivement sous-entendre la copule (i.e. le verbe « être ») en quenya.
J'éviterais calassë, c'est du qenya, on ne sait pas si le mot a été conservé par Tolkien. À la place, on peut prendre rillë, rilma, alcar...
Au lieu de dire mi mornië, je pense qu'il convient d'utiliser le locatif : morniessë.
Vu que le quenya fait un usage très mesuré de l'article défini, j'omettrais le i devant isilmë.
Pour le « qui », puisqu'il s'agit d'un pronom relatif impersonnel singulier, il semble falloir utiliser ya.
J'éviterais calassë, c'est du qenya, on ne sait pas si le mot a été conservé par Tolkien. À la place, on peut prendre rillë, rilma, alcar...
Au lieu de dire mi mornië, je pense qu'il convient d'utiliser le locatif : morniessë.
Vu que le quenya fait un usage très mesuré de l'article défini, j'omettrais le i devant isilmë.
Pour le « qui », puisqu'il s'agit d'un pronom relatif impersonnel singulier, il semble falloir utiliser ya.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland