Merci Hofnarr d'avoir mis plusieurs choix dans le sondage. Pas évident de choisir, Hyarion a écrit beaucoup de choses intéressantes.
Ce que j'aime le moins mais ce n'est pas grand chose est son côté anglais ou plutôt trop anglais peut être, notamment une sorte de dédain (j'exagère) à l'égard de la France. Cela m'a toujours un peu gêné probablement en raison d'un léger chauvinisme qui peut arriver chez tout le monde. Son côté un peu moralisateur également que je percevais dans les lettres me gênait, je ne suis pas sûr que j'aurais été ami avec Tolkien. Pour sa défense, il a toutefois vécu dans une période très difficile (les deux guerres notamment) où la morale était tout autre que celle d'aujourd'hui.
J'ai mis la dévotion culturelle autour de Tolkien également même si je ne suis pas sûr de bien percevoir de quoi il s'agit exactement. Je l'ai compris comme une sorte de sacralisation de son œuvre, un peu comme si on sacralisait l'histoire d'un pays et que personne n'aurait le droit d'y toucher, de se l'approprier à moins de passer par une sorte de clergé. Bien évidemment, la dévotion culturelle concernerait une minorité. L'université en France ne l'a heureusement pas encore rangé au panthéon avec Flaubert, Zola, Proust... sinon la dévotion serait encore plus forte. Tolkien, du côté de chez Sam à l'ombre des Ents en fleur.
Ce que j'aime le moins mais ce n'est pas grand chose est son côté anglais ou plutôt trop anglais peut être, notamment une sorte de dédain (j'exagère) à l'égard de la France. Cela m'a toujours un peu gêné probablement en raison d'un léger chauvinisme qui peut arriver chez tout le monde. Son côté un peu moralisateur également que je percevais dans les lettres me gênait, je ne suis pas sûr que j'aurais été ami avec Tolkien. Pour sa défense, il a toutefois vécu dans une période très difficile (les deux guerres notamment) où la morale était tout autre que celle d'aujourd'hui.
J'ai mis la dévotion culturelle autour de Tolkien également même si je ne suis pas sûr de bien percevoir de quoi il s'agit exactement. Je l'ai compris comme une sorte de sacralisation de son œuvre, un peu comme si on sacralisait l'histoire d'un pays et que personne n'aurait le droit d'y toucher, de se l'approprier à moins de passer par une sorte de clergé. Bien évidemment, la dévotion culturelle concernerait une minorité. L'université en France ne l'a heureusement pas encore rangé au panthéon avec Flaubert, Zola, Proust... sinon la dévotion serait encore plus forte. Tolkien, du côté de chez Sam à l'ombre des Ents en fleur.