Impossible de choisir...
J'ai beaucoup lu Hobb et je trouve qu'elle a quelque chose qui manque chez Tolkien: c'est une psychologue de première force. Ses personnages sont toujours assez complexes et les tourments et errements de Fitz sont remarquables conduisant les lecteurs à le trouver insupportable et égoïste ou au contraire attachant et malheureux
Dommage aussi qu'il manque Eddings ou Silverberg: les chants de la Belgariade et de la Mallorée du premier ou le Château de Lord Valentin du second m'ont laissé de grands souvenirs tout comme les Princes d'Ambre de Zelazny ou le cycle d'Elric de Moorcock (qui soit dit-en passant adore détester Tolkien).
Mais aucun d'entre eux n'offre la richesse du monde de Tolkien. Son oeuvre est une construction d'une complexité phénoménale et d'une cohérence presque absolue. Sauf quelques menus égarements ou quelques mystères bien sentis. On peut en disserter sur des dizaines de milliers de pages avec un niveau de lecture universitaire et je ne pense pas exagérer. Les oeuvres de Hobb ou même de GRR Martin (intéressant pour ses inspirations historiques mais avec une langue presque simpliste) sont loin de pouvoir susciter autant de recherches.
J'ai beaucoup lu Hobb et je trouve qu'elle a quelque chose qui manque chez Tolkien: c'est une psychologue de première force. Ses personnages sont toujours assez complexes et les tourments et errements de Fitz sont remarquables conduisant les lecteurs à le trouver insupportable et égoïste ou au contraire attachant et malheureux
Dommage aussi qu'il manque Eddings ou Silverberg: les chants de la Belgariade et de la Mallorée du premier ou le Château de Lord Valentin du second m'ont laissé de grands souvenirs tout comme les Princes d'Ambre de Zelazny ou le cycle d'Elric de Moorcock (qui soit dit-en passant adore détester Tolkien).
Mais aucun d'entre eux n'offre la richesse du monde de Tolkien. Son oeuvre est une construction d'une complexité phénoménale et d'une cohérence presque absolue. Sauf quelques menus égarements ou quelques mystères bien sentis. On peut en disserter sur des dizaines de milliers de pages avec un niveau de lecture universitaire et je ne pense pas exagérer. Les oeuvres de Hobb ou même de GRR Martin (intéressant pour ses inspirations historiques mais avec une langue presque simpliste) sont loin de pouvoir susciter autant de recherches.
Dorées les feuilles tombent, mais le rêve se poursuit
Là où l'espoir demeure, les eaux chantent sous la nuit
Là où l'espoir demeure, les eaux chantent sous la nuit