29.12.2012, 03:43
Ne connaissant pas bien les règles du forum, j'espère ne pas me tromper en le postant ici.
The One Ring/L'Anneau Unique est une adaptation en jeu de rôle de la Terre du Milieu (contrairement à ce que son nom indique, plutôt axée sur les Terres Sauvages, la Forêt Noire, enfin ce qui tourne autour du Hobbit que du SdA).
A titre personnel, il me semble qu'il s'agit (potentiellement) du meilleur portage sur ce format (hormis peut-être de JdR Amateurs comme Tiers-Âge ou La Terre des Héros)
Pour ne rien gâter, l'illustration est à la fois sobre et proche de celles de Lee ou de Howe (qui a participé d'ailleurs à la couverture).
On peut regretter certaines approximations, voire certaines "trahisons" : la plus importante étant de faire de Radagast une sorte de "Gandalf des bois" (pour reprendre le mot de Casus Belli) au lieu d'un Istari ayant échoué dans sa quête (encore que le livre sous-entend cet échec, mais de manière trop légère).
Néanmoins, le parti pris de mettre en avant la résistance à l'Ombre au lieu d'une progression virtuellement ininterrompue vers le Bien et l'épique, la cohésion de la Communauté dans les règles au lieu de la simple réunion de feuilles séparées me semble aller dans le meilleur sens.
J'avoue ne pas trop connaître l'opinion "locale" sur ce genre d'adaptation (mon expérience limitée en France et Angleterre allant du "vandalisme" sauvage de la cosmogonie à l’anathème pur et simple) mais je serais curieux d'en discuter.
The One Ring/L'Anneau Unique est une adaptation en jeu de rôle de la Terre du Milieu (contrairement à ce que son nom indique, plutôt axée sur les Terres Sauvages, la Forêt Noire, enfin ce qui tourne autour du Hobbit que du SdA).
A titre personnel, il me semble qu'il s'agit (potentiellement) du meilleur portage sur ce format (hormis peut-être de JdR Amateurs comme Tiers-Âge ou La Terre des Héros)
Pour ne rien gâter, l'illustration est à la fois sobre et proche de celles de Lee ou de Howe (qui a participé d'ailleurs à la couverture).
On peut regretter certaines approximations, voire certaines "trahisons" : la plus importante étant de faire de Radagast une sorte de "Gandalf des bois" (pour reprendre le mot de Casus Belli) au lieu d'un Istari ayant échoué dans sa quête (encore que le livre sous-entend cet échec, mais de manière trop légère).
Néanmoins, le parti pris de mettre en avant la résistance à l'Ombre au lieu d'une progression virtuellement ininterrompue vers le Bien et l'épique, la cohésion de la Communauté dans les règles au lieu de la simple réunion de feuilles séparées me semble aller dans le meilleur sens.
J'avoue ne pas trop connaître l'opinion "locale" sur ce genre d'adaptation (mon expérience limitée en France et Angleterre allant du "vandalisme" sauvage de la cosmogonie à l’anathème pur et simple) mais je serais curieux d'en discuter.