19.06.2007, 22:54
Sauf que les noms abstraits ont bien d'autres terminaisons possibles, et les différentes règles qui s'appliquent pour choisir l'une plutôt que l'autres ne sont guères connues.
Dans notre cas (en supposant que liberté sera effectivement un dérivé de 'libre' en quenya), on pourrait avoir une terminaison en :
-ë (e.g. airë, sainteté)
-ië (e.g. tengwestië, langage)
-më (e.g. melmë, amour)
-lë (e.g. intalyë, imagination)
-rë (e.g. almarë, état de grâce)
-wë (e.g. voronwë, fidélité)
Toutes ces terminaisons peuvent servir à exprimer des concepts abstraits.
Merci à Fauskanger pour avoir mis cette liste au point (http://www.uib.no/people/hnohf/affix~1.htm).
La suggestion de Lomelindë a le mérite d'éviter cet écueil.
Là par contre, je ne peux pas résister, quitte à faire un double post : y avait-il vraiment des peuples sachant écrire au Brésil au XIIème siècle ?
Question subsidiaire : si oui, leurs écrits ont-ils résistés aux flammes ?
NB : Christophe Colomb - "Découverte" du Nouveau Monde : 1492.
Dans notre cas (en supposant que liberté sera effectivement un dérivé de 'libre' en quenya), on pourrait avoir une terminaison en :
-ë (e.g. airë, sainteté)
-ië (e.g. tengwestië, langage)
-më (e.g. melmë, amour)
-lë (e.g. intalyë, imagination)
-rë (e.g. almarë, état de grâce)
-wë (e.g. voronwë, fidélité)
Toutes ces terminaisons peuvent servir à exprimer des concepts abstraits.
Merci à Fauskanger pour avoir mis cette liste au point (http://www.uib.no/people/hnohf/affix~1.htm).
La suggestion de Lomelindë a le mérite d'éviter cet écueil.
Zelphalya a écrit :littérature brésilienne du 12ième siècle (exemple au hasard)
Là par contre, je ne peux pas résister, quitte à faire un double post : y avait-il vraiment des peuples sachant écrire au Brésil au XIIème siècle ?

Question subsidiaire : si oui, leurs écrits ont-ils résistés aux flammes ?
NB : Christophe Colomb - "Découverte" du Nouveau Monde : 1492.

Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland