19.06.2007, 22:00
En effet, disons qu'Edouard et ses interventions font partie du "folklore" du microcosme (doux euphémisme) des langues de Tolkien. Et parfois certains oublient à quel point notre milieu (celuid es langues de Tolkien) est étriqué... Passons. 

Quoiqu'il en soit, intervenir de manière pédagogique plutôt que pour exposer une énième diatribe ne serait-il pas plus constructif ?... Je trouve que cela a un côté pervers et purement gratuit d'asséner des remarques-butoirs sans essayer de discuter. Là encore, passons.
Pour en revenir à nos moutons. Au-delà de l'utilité d'un tatouage en quenya (ou en toute autre langue elfique d'ailleurs), il faut effectivement se poser la question de la véracité de ce qui peut être proposé, puisque - du moins dans les deux langues elfiques majeures de Tolkien que sont le quenya et le sindarin - nous ne disposons pas de terme désignant à proprement parler la notion de "liberté".
On peut tout de même imaginer que des hypothèses soient possibles (du moins en quenya) sur la base des termes cités par Elendil Voronda, avec la terminaison -ie, récurrente dans les termes désignant des notions abstraites : almie 'bien-être, satisfaction' (Ety/357), aquapahtie 'inimitié' (VT39/32), aranie 'royaume' (VT43/15), arie 'journée' (Ety/349), castanótie 'systéme décimal' (VT48/11-2), *fírie 'mort' (sur la base de fíriemmo 'de notre mort'), pour ne citer que ces exemples-ci. Cela n'empêche pas néanmoins l'apparition d'exemples de noms en -ie plus "tangibles".
Dans l'idéal, je serais plutôt d'avis de proposer à Mesta une solution intermédiaire : transcrire dans le mode anglais des Tengwar le terme liberty. Je parle ici du mode anglais des tengwar notamment employé par J.R.R. Tolkien dans sa lettre à Hugh Brogan (lettre n°118 dans Letters [ou Lettres]).

Kloczko a écrit :Arrêter de croire qu'il soit possible de "trouver" des spécialsites de Tolkien sur un forum public sur le Net.Lapsus révélateur ?

Quoiqu'il en soit, intervenir de manière pédagogique plutôt que pour exposer une énième diatribe ne serait-il pas plus constructif ?... Je trouve que cela a un côté pervers et purement gratuit d'asséner des remarques-butoirs sans essayer de discuter. Là encore, passons.

Pour en revenir à nos moutons. Au-delà de l'utilité d'un tatouage en quenya (ou en toute autre langue elfique d'ailleurs), il faut effectivement se poser la question de la véracité de ce qui peut être proposé, puisque - du moins dans les deux langues elfiques majeures de Tolkien que sont le quenya et le sindarin - nous ne disposons pas de terme désignant à proprement parler la notion de "liberté".
On peut tout de même imaginer que des hypothèses soient possibles (du moins en quenya) sur la base des termes cités par Elendil Voronda, avec la terminaison -ie, récurrente dans les termes désignant des notions abstraites : almie 'bien-être, satisfaction' (Ety/357), aquapahtie 'inimitié' (VT39/32), aranie 'royaume' (VT43/15), arie 'journée' (Ety/349), castanótie 'systéme décimal' (VT48/11-2), *fírie 'mort' (sur la base de fíriemmo 'de notre mort'), pour ne citer que ces exemples-ci. Cela n'empêche pas néanmoins l'apparition d'exemples de noms en -ie plus "tangibles".
Dans l'idéal, je serais plutôt d'avis de proposer à Mesta une solution intermédiaire : transcrire dans le mode anglais des Tengwar le terme liberty. Je parle ici du mode anglais des tengwar notamment employé par J.R.R. Tolkien dans sa lettre à Hugh Brogan (lettre n°118 dans Letters [ou Lettres]).