13.10.2005, 20:06
C'est ici même pire que la mort : non seulement son hröa disparait, mais aussi son fëa ! Alors que, si l'on garde l'Estel, la confiance en Eru, l'âme des morts ne disparaît pas : elle va ailleurs, on ne sait où, mais existe toujours. J'interprète le "se résorba en néant" comme la disparition totale de l'être en son ensemble -- corps et âme, ffft, soufflées comme une chandelle... même pas condamné à errer, tel que je le comprend, mais disparue purement et simplement -- encore que l'expression ne soit pas appropriée : celà n'a rien de pur, ni de simple, mais vous m'avez comprise 
D'ailleurs, les cas cités par Aravanessë sont ceux de "proscrits" pour le mal qu'ils ont fait... pour le Mal, même : pour Melkor et Sauron, on n'y reviendra pas, ils ont refusés ou mordus toute main tendue. Pour Saruman, il a failli complètement à sa mission, et plutôt que d'accepter le pardon qui lui était offert, à continuer à marrir tout ce qu'il pouvait -- on revient au Marrissement... je n'ai pas eut franchement le temps de préparer le point que je voulais faire, hélas : le travail s'entasse et s'entasse et s'entasse, les échéances s'approchent s'approchent et s'approchent... *soupir*.
Par là, il est logique que la survie de leur âme leur soit refusée. Mais à ce que je sache, Beörn n'a rien commit d'aussi ignoble que les trois exemples donnés...

D'ailleurs, les cas cités par Aravanessë sont ceux de "proscrits" pour le mal qu'ils ont fait... pour le Mal, même : pour Melkor et Sauron, on n'y reviendra pas, ils ont refusés ou mordus toute main tendue. Pour Saruman, il a failli complètement à sa mission, et plutôt que d'accepter le pardon qui lui était offert, à continuer à marrir tout ce qu'il pouvait -- on revient au Marrissement... je n'ai pas eut franchement le temps de préparer le point que je voulais faire, hélas : le travail s'entasse et s'entasse et s'entasse, les échéances s'approchent s'approchent et s'approchent... *soupir*.
Par là, il est logique que la survie de leur âme leur soit refusée. Mais à ce que je sache, Beörn n'a rien commit d'aussi ignoble que les trois exemples donnés...
"[Faerie] represents love: that is, a love and respect for all things, 'inanimate' and 'animate', an unpossessive love of them as 'other'."
J.R.R. Tolkien, Essay on Smith of Wootton Major.
J.R.R. Tolkien, Essay on Smith of Wootton Major.