07.10.2005, 17:04
*Ooooh*
Voilà un long texte qui mérite que l'on s'y arrête, et chaque vers nouveau qui apparait au bas de la page est une joie plus qu'une inutile longueur ! Félicitations Squall-Estel !
J'aime beaucoup le début, les petites touches de paysages tolkienniens, tableaux hâtifs et poétiques qui font émerger dans ma mémoire des souvenirs divers ; par contre, j'ai été moins enchanté par la seconde strophe, où les vers sont un peu plus maladroits, les idées un peu plus confuses ; la dimension importante de la guerre est magnifiquement rendue par les vers :
"Porté comme le vent par mon puissant cheval,
Ma lance scintillant au milieu des étoiles,
Mon bouclier brillant comme un jeune soleil,
Mon épée se teintant de rouge et de vermeil
Et des flèches glissant sur ma cotte de mailles,
Ah ! Jaimerais sentir le feu de la bataille "
(raaaaah, c'est beau ! )
et le souvenir ému du temps passé de la quatrième strophe clot de façon agréable ce poème. A chaque strophe son thème, et une chute qui rappelle beaucoup Rimbaud tout en restant originale et dans la continuité du poème.
Si on pouvait avoir plus souvent des textes comme ça, ben... j'aurais vraiment de quoi avoir honte de moi
Un Divitiac enthousiaste
Voilà un long texte qui mérite que l'on s'y arrête, et chaque vers nouveau qui apparait au bas de la page est une joie plus qu'une inutile longueur ! Félicitations Squall-Estel !
J'aime beaucoup le début, les petites touches de paysages tolkienniens, tableaux hâtifs et poétiques qui font émerger dans ma mémoire des souvenirs divers ; par contre, j'ai été moins enchanté par la seconde strophe, où les vers sont un peu plus maladroits, les idées un peu plus confuses ; la dimension importante de la guerre est magnifiquement rendue par les vers :
"Porté comme le vent par mon puissant cheval,
Ma lance scintillant au milieu des étoiles,
Mon bouclier brillant comme un jeune soleil,
Mon épée se teintant de rouge et de vermeil
Et des flèches glissant sur ma cotte de mailles,
Ah ! Jaimerais sentir le feu de la bataille "
(raaaaah, c'est beau ! )
et le souvenir ému du temps passé de la quatrième strophe clot de façon agréable ce poème. A chaque strophe son thème, et une chute qui rappelle beaucoup Rimbaud tout en restant originale et dans la continuité du poème.
Si on pouvait avoir plus souvent des textes comme ça, ben... j'aurais vraiment de quoi avoir honte de moi
Un Divitiac enthousiaste