29.03.2007, 19:09
(Modification du message : 29.03.2007, 21:05 par Squall-Estel.)
Ca faisait longtemps que je n'avais rien eu à vous proposer... ce petit poème m'a donné du fil à retordre. Pendant une nuit à la campagne (en l'occurence, en regardant l'éclipse de lune...) j'ai essayé de m'imaginer ce à quoi pourrait ressembler une berceuse rohirrim. Curieusement, j'ai aussitôt trouvé les deux premiers vers... mais j'ai longtemps buté sur la suite. Je vous livre le résultat
Berceuse Rohirrim
Que nous chante le vent, que nous souffle la nuit ?
Les sabots d'un cheval qui s'avance sans bruit :
Il passe sur la plaine endormie, et la brise
Ebouriffe le flot de sa crinière grise.
Les ombres vont glissant sous sa course rapide,
Et leur balancement régulier et limpide
Diffuse dans la brume une étrange vigueur,
Un flux tourbillonnant d'éphémères lueurs.
Mais le gris meara bientôt s'évanouit
Dans le souffle du vent et le chant de la nuit...
_Nul écho, nul reflet, nulle trace, et pourtant
Il reste dans nos coeurs son doux enchantement...
J'avoue qu'il me reste deux incertitudes orthographiques : "berceuse rohirrim" et "un mearas"? Ce sont les bonnes déclinaisons ?
Berceuse Rohirrim
Que nous chante le vent, que nous souffle la nuit ?
Les sabots d'un cheval qui s'avance sans bruit :
Il passe sur la plaine endormie, et la brise
Ebouriffe le flot de sa crinière grise.
Les ombres vont glissant sous sa course rapide,
Et leur balancement régulier et limpide
Diffuse dans la brume une étrange vigueur,
Un flux tourbillonnant d'éphémères lueurs.
Mais le gris meara bientôt s'évanouit
Dans le souffle du vent et le chant de la nuit...
_Nul écho, nul reflet, nulle trace, et pourtant
Il reste dans nos coeurs son doux enchantement...
J'avoue qu'il me reste deux incertitudes orthographiques : "berceuse rohirrim" et "un mearas"? Ce sont les bonnes déclinaisons ?