19.10.2017, 22:20
Bonjour,
C'est une très vaste question qui mériterait une étude, car les expériences personnelles peuvent donner une vision très biaisée. En effet, la fantasy fait partie du programme de 5e au collège, mais cela reste entièrement à l'appréciation des professeurs d'aborder Tolkien ou non. Il est donc difficile de percevoir une évolution notable au travers de quelques expériences ci et là
Je pense aussi qu'il faut distinguer la recherche de l'enseignement, ce n'est pas le même but ni le même public. Dans l'enseignement, Tolkien, s'il est étudié, l'est à la marge, et on n'y revient plus passé le collège, à part éventuellement en classe d'anglais. Dans la recherche, les études françaises se développent tout particulièrement depuis les années 2000 il me semble, autour de la littérature de genre par exemple (Anne Besson) même s'il peut demeurer un scepticisme du côté des études plus classiques.
C'est une très vaste question qui mériterait une étude, car les expériences personnelles peuvent donner une vision très biaisée. En effet, la fantasy fait partie du programme de 5e au collège, mais cela reste entièrement à l'appréciation des professeurs d'aborder Tolkien ou non. Il est donc difficile de percevoir une évolution notable au travers de quelques expériences ci et là
Je pense aussi qu'il faut distinguer la recherche de l'enseignement, ce n'est pas le même but ni le même public. Dans l'enseignement, Tolkien, s'il est étudié, l'est à la marge, et on n'y revient plus passé le collège, à part éventuellement en classe d'anglais. Dans la recherche, les études françaises se développent tout particulièrement depuis les années 2000 il me semble, autour de la littérature de genre par exemple (Anne Besson) même s'il peut demeurer un scepticisme du côté des études plus classiques.