27.07.2017, 17:45
(Modification du message : 27.07.2017, 23:21 par Chiara Cadrich.)
Tout cela est vrai. L'histoire du Gondor est jalonnée d'épisodes d'ambitions et d'idéologies catastrophiques, comme la lutte fratricide, par exemple. Liberté implique chute possible et zone de gris...
Pourtant à la lecture de l'oeuvre, cette relativité me parait la construction raisonnée du lecteur, qui extrapole la crédibilité autour du légendaire. La guerre de l'Anneau à proprement parler désigne assez clairement les derniers bastions libres face à l'univers subjugué.
La limite entre les "peuples libres asservis" et les représentants structurels du mal, se lit de façon claire. Les plus profondément ancrés dans le mal, sont physiquement marqués; l'orque manque de grâce et de beauté, tout en lui transpire l'ordure et le vice. Gollum est marqué dans sa chair lui aussi. Même Saroumane extériorise son changement intérieur sous la forme d'un virage du blanc au "multicolore". Cette identification-là me parait un peu manichéenne.
Pourtant à la lecture de l'oeuvre, cette relativité me parait la construction raisonnée du lecteur, qui extrapole la crédibilité autour du légendaire. La guerre de l'Anneau à proprement parler désigne assez clairement les derniers bastions libres face à l'univers subjugué.
La limite entre les "peuples libres asservis" et les représentants structurels du mal, se lit de façon claire. Les plus profondément ancrés dans le mal, sont physiquement marqués; l'orque manque de grâce et de beauté, tout en lui transpire l'ordure et le vice. Gollum est marqué dans sa chair lui aussi. Même Saroumane extériorise son changement intérieur sous la forme d'un virage du blanc au "multicolore". Cette identification-là me parait un peu manichéenne.