28.12.2015, 17:16
Nostarondil Tiliwë, c'est en fait une question de divergence d'approches entre nous et Edouard Kloczko.
Nous envisageons pour notre part les langues et alphabets inventés par Tolkien comme des sources à étudier, un peu comme des langues mortes dont les spécialistes étudient le corpus. C'est une approche austère mais rigoureuse et, selon nous, plus respectueuse du travail de Tolkien.
Edouard Kloczko cherche pour sa part à reconstruire une langue utilisable, à faire du quenya une langue vivante, un espéranto. Il n'hésite donc pas à extrapoler des termes à partir d'autres (conjugués ou composés) ou des règles à partir d'exemples de périodes différentes et donc de stades différents de développement de la langue inventée.
C'est une approche ouverte mais qui l'oblige parfois à jouer à l'apprenti sorcier. Notamment quand il invente un mode français des tengwar, ce qui peut être pratique et ludique mais relève davantage de l'univers étendu de Tolkien que du canon (pour reprendre des termes chers aux fanatiques de Star Wars ^^).
aravanessë
Nous envisageons pour notre part les langues et alphabets inventés par Tolkien comme des sources à étudier, un peu comme des langues mortes dont les spécialistes étudient le corpus. C'est une approche austère mais rigoureuse et, selon nous, plus respectueuse du travail de Tolkien.
Edouard Kloczko cherche pour sa part à reconstruire une langue utilisable, à faire du quenya une langue vivante, un espéranto. Il n'hésite donc pas à extrapoler des termes à partir d'autres (conjugués ou composés) ou des règles à partir d'exemples de périodes différentes et donc de stades différents de développement de la langue inventée.
C'est une approche ouverte mais qui l'oblige parfois à jouer à l'apprenti sorcier. Notamment quand il invente un mode français des tengwar, ce qui peut être pratique et ludique mais relève davantage de l'univers étendu de Tolkien que du canon (pour reprendre des termes chers aux fanatiques de Star Wars ^^).
aravanessë