Pour revenir à plus de sérieux, le travail de Daniel Lauzon est une retraduction, pas une révision. Il puise sa force et sa crédibilité dans la richesse et les progrès faits depuis 30 ans (et surtout depuis 15 ans) dans la recherche tolkienienne.
En 1969, Ledoux n'avait pas la culture du Légendaire et de la plume de Tolkien que détient aujourd'hui Daniel qui a déjà oeuvré sur d'autres oeuvres de Tolkien bien plus compliquées ces dix dernières années.
La nomenclature de la précédente traduction lui appartient.
Enfin bref.
Chacun est désormais libre de choisir le texte qu'il veut, en effet, et c'est tant mieux : pour moi, le vieux Bilbo de 1969 est passé derrière celui de 2012, définitivement meilleur à tout point de vue.
I.
En 1969, Ledoux n'avait pas la culture du Légendaire et de la plume de Tolkien que détient aujourd'hui Daniel qui a déjà oeuvré sur d'autres oeuvres de Tolkien bien plus compliquées ces dix dernières années.
La nomenclature de la précédente traduction lui appartient.
Enfin bref.
Chacun est désormais libre de choisir le texte qu'il veut, en effet, et c'est tant mieux : pour moi, le vieux Bilbo de 1969 est passé derrière celui de 2012, définitivement meilleur à tout point de vue.
I.