15.11.2012, 00:46
Merci Vincent.
Et c'est un beau texte, à lire et à entendre
---
Cher Chrysalid, restons cool et détendus de la quarantaine. Entre vieux pas encore trop vieux, on devrait pourtant se comprendre.
Sans vouloir paraphraser un poncif que je viens de lire, je sens que tu n'as pas aimé mon point de vue. Aurais-je dû le taire ?
Ah, par contre, j'ai pour ma part oublié de préciser qu'il s'agissait de MON ressenti et que je ne voulais l'imposer à personne. Autant pour moi, camarade.
Ceci étant précisé, j'ajoute que mon ton sarcastique n'invitait évidemment pas au débat, puisqu'il s'agissait de mettre en lumière une réaction sans autre ambition que de ne pas laisser dire des choses manifestement angélico-éronnées pour soutenir un point de vue que je soupçonne d'être un poil injusto-réac.
Il y aurait des centaines d'arguments plus intéressants et plus intelligibles que "les fans des films vont pas comprendre" pour expliquer en quoi Bessac ne va pas.
Or, il se trouve que je ne considère définitivement pas - et je crois ne pas être le seul - la tentative cinématographique indigeste de Peter Jackson comme une "consécration" pour le roman de Tolkien. En bien des points elle en est surtout une négation.
Et il se trouve que bazarder la nouvelle traduction du Hobbit, probablement sans l'avoir lue ("découvrir" la nouvelle traduction n'indique pas que tu l'as "lue") en se focalisant très étroitement sur le nom du héros - qui ne s'appelait pas Sacquet, soit dit en passant, dans la première traduction - et en utilisant à diverses reprises ce miteux argument des films de Jackson, est une attitude assez mmh... agaçante que je me fais toujours une joie mesquine de tourner publiquement en dérision.
Poil au menton.
I.
Et c'est un beau texte, à lire et à entendre

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Cher Chrysalid, restons cool et détendus de la quarantaine. Entre vieux pas encore trop vieux, on devrait pourtant se comprendre.
Sans vouloir paraphraser un poncif que je viens de lire, je sens que tu n'as pas aimé mon point de vue. Aurais-je dû le taire ?
Ah, par contre, j'ai pour ma part oublié de préciser qu'il s'agissait de MON ressenti et que je ne voulais l'imposer à personne. Autant pour moi, camarade.
Ceci étant précisé, j'ajoute que mon ton sarcastique n'invitait évidemment pas au débat, puisqu'il s'agissait de mettre en lumière une réaction sans autre ambition que de ne pas laisser dire des choses manifestement angélico-éronnées pour soutenir un point de vue que je soupçonne d'être un poil injusto-réac.
Il y aurait des centaines d'arguments plus intéressants et plus intelligibles que "les fans des films vont pas comprendre" pour expliquer en quoi Bessac ne va pas.
Or, il se trouve que je ne considère définitivement pas - et je crois ne pas être le seul - la tentative cinématographique indigeste de Peter Jackson comme une "consécration" pour le roman de Tolkien. En bien des points elle en est surtout une négation.
Et il se trouve que bazarder la nouvelle traduction du Hobbit, probablement sans l'avoir lue ("découvrir" la nouvelle traduction n'indique pas que tu l'as "lue") en se focalisant très étroitement sur le nom du héros - qui ne s'appelait pas Sacquet, soit dit en passant, dans la première traduction - et en utilisant à diverses reprises ce miteux argument des films de Jackson, est une attitude assez mmh... agaçante que je me fais toujours une joie mesquine de tourner publiquement en dérision.
Poil au menton.
I.