30.09.2010, 14:04
Il n'y a de duel PJ vs Tolkien, il y a simplement des critiques sur les deux personnes (plus la première que la seconde).
Sur les Nazgul, comme je le disais dans un autre sujet, c'est leur description disons pas très convaincante : capuchon, manteau noir et bottes. Quand je lis ça je pense pas vraiment à un lieutenant de Sauron, mais plutôt au Chaperon Rouge dans sa forêt.
Et d'ailleurs ce que je défends des films réside surtout là. Je m'explique :
J'ai une version du Seigneur des Anneaux assez moche, aux éditions Flammarion, et pour tout dire, l'illustrateur est plus que minable. Il a repris à 100% les descriptions qu'a faite Tolkien, mais n'a rien rajouté de plus. Prenons l'exemple d'Aragorn. Il est décrit dans le livre comme ayant de hautes bottes, des draps verts défraîchis, une pipe sculptée, le visage je m'en souviens plus mais rien de très concret (regard austère et brillant je crois, et visage maigre), et des cheveux ébouriffés. L'illustrateur il a fait quoi ? Bah il a dessiné une gueule niaise avec des cheveux courts et des épis derrière le crâne... C'est super classe pour notre Rôdeur descendant de la lignée d'Elendil. Si on extrait l'image du texte, bah moi j'y vois un clochard. Et c'est là que je remercie les professionnels qui se sont occupés des films. Parce qu'ils ont, tout en gardant les vêtements verts, les bottes, le visage maigre, les cheveux un peu emmêlés, ils ont fait d'Aragorn un personnage charismatique, auquel on s'attache comme Frodon s'est attaché à lui. Il a la classe, et c'est ce qu'on voulait.
Et les Nazgûl bah c'est la même chose. Une image ridicule d'un cavalier emmitouflé dans ses vêtements de bourgeois, voilà ce que j'ai dans ma version du bouquin, et quand on voit ce que ça donne sur écran, bah on est bien heureux que PJ soit passé par là avec tout sa clique.
@ Isengar : dans tes critiques, tu as évoqué l'image de Sauron à Dagorlad. Le livre, pour autant que je sache, ne dresse aucune description de Sauron matérialisé. Les artistes qui ont travaillé sur le film sont donc libres de lui donner l'image qu'ils veulent, réussie une fois de plus.
Sur les Nazgul, comme je le disais dans un autre sujet, c'est leur description disons pas très convaincante : capuchon, manteau noir et bottes. Quand je lis ça je pense pas vraiment à un lieutenant de Sauron, mais plutôt au Chaperon Rouge dans sa forêt.
Et d'ailleurs ce que je défends des films réside surtout là. Je m'explique :
J'ai une version du Seigneur des Anneaux assez moche, aux éditions Flammarion, et pour tout dire, l'illustrateur est plus que minable. Il a repris à 100% les descriptions qu'a faite Tolkien, mais n'a rien rajouté de plus. Prenons l'exemple d'Aragorn. Il est décrit dans le livre comme ayant de hautes bottes, des draps verts défraîchis, une pipe sculptée, le visage je m'en souviens plus mais rien de très concret (regard austère et brillant je crois, et visage maigre), et des cheveux ébouriffés. L'illustrateur il a fait quoi ? Bah il a dessiné une gueule niaise avec des cheveux courts et des épis derrière le crâne... C'est super classe pour notre Rôdeur descendant de la lignée d'Elendil. Si on extrait l'image du texte, bah moi j'y vois un clochard. Et c'est là que je remercie les professionnels qui se sont occupés des films. Parce qu'ils ont, tout en gardant les vêtements verts, les bottes, le visage maigre, les cheveux un peu emmêlés, ils ont fait d'Aragorn un personnage charismatique, auquel on s'attache comme Frodon s'est attaché à lui. Il a la classe, et c'est ce qu'on voulait.
Et les Nazgûl bah c'est la même chose. Une image ridicule d'un cavalier emmitouflé dans ses vêtements de bourgeois, voilà ce que j'ai dans ma version du bouquin, et quand on voit ce que ça donne sur écran, bah on est bien heureux que PJ soit passé par là avec tout sa clique.
@ Isengar : dans tes critiques, tu as évoqué l'image de Sauron à Dagorlad. Le livre, pour autant que je sache, ne dresse aucune description de Sauron matérialisé. Les artistes qui ont travaillé sur le film sont donc libres de lui donner l'image qu'ils veulent, réussie une fois de plus.