Dans l'inscription de Namárië, Tolkien écrivit apparemment "caita" avec l'accent "a" au-dessus du calma plutôt qu'au-dessus du yanta. Contrairement à tout ce qui est dit au sujet des diphtongues dans l'Appendice E. Mais je suppose que M. Kloczko a une explication logique à cela, bien sûr.
Au sujet de thúlë > súlë : l'Appendice E précise très clairement : "TH represents the voiceless th of English in thin cloth. This had become in Quenya spoken s, though still written with a different letter" (emphasis mine). Pourtant, dans Namárië, Tolkien utilise bien la lettre "s" ordinaire (i.e. silma) pour écrire "sindanóriello", contrairement à la règle qu'il a lui-même instaurée (sinda- provient bien de la racine THIN, apparemment).
Et c'est encore plus clair dans Shibboleth, dans mes souvenirs. J'espère être en mesure de fournir une citation adéquate d'ici peu.
Maintenant, me faire dire que le Professeur était un incapable est indigne de quiconque ayant la moindre prétention à se comporter en scholar. C'était un homme remarquable, pour qui j'ai la plus grande admiration. Il était apparemment de plus de la plus grande politesse. Voilà une qualité qui se perd.
L'Internet est-il un espace trop libre parce que les gens ont la possibilité de vérifier par eux-mêmes les dires de M. Kloczko, et de le reprendre le cas échéant ?
Si M. Kloczko a des exemples argumentés plutôt qu'un complete lack of footnoting, sourcing, or supporting evidence for his pontifications (however interesting)*, alors, oui, peut-être sera-t-il possible d'apprendre ou de comprendre des choses compliquées à ce sujet, sur ce forum.
Et s'il s'avère que je me trompe, je serai le premier à le reconnaître. Je ne prétends pas avoir une connaissance parfaite de l'univers de Tolkien. Accroître ma compréhension est suffisante à mon bonheur.
EDIT : Je prie Zelphalya de me pardonner ce message. J'avais commencé à rédiger celui-ci avant qu'elle ne poste le sien. Et, non, je ne laisse pas passer de message à ce point insultant sans y répondre.
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* Tom Loback (à propos de M. Kloczko), VT #11, p.5.
Au sujet de thúlë > súlë : l'Appendice E précise très clairement : "TH represents the voiceless th of English in thin cloth. This had become in Quenya spoken s, though still written with a different letter" (emphasis mine). Pourtant, dans Namárië, Tolkien utilise bien la lettre "s" ordinaire (i.e. silma) pour écrire "sindanóriello", contrairement à la règle qu'il a lui-même instaurée (sinda- provient bien de la racine THIN, apparemment).
Et c'est encore plus clair dans Shibboleth, dans mes souvenirs. J'espère être en mesure de fournir une citation adéquate d'ici peu.
Maintenant, me faire dire que le Professeur était un incapable est indigne de quiconque ayant la moindre prétention à se comporter en scholar. C'était un homme remarquable, pour qui j'ai la plus grande admiration. Il était apparemment de plus de la plus grande politesse. Voilà une qualité qui se perd.
L'Internet est-il un espace trop libre parce que les gens ont la possibilité de vérifier par eux-mêmes les dires de M. Kloczko, et de le reprendre le cas échéant ?
Si M. Kloczko a des exemples argumentés plutôt qu'un complete lack of footnoting, sourcing, or supporting evidence for his pontifications (however interesting)*, alors, oui, peut-être sera-t-il possible d'apprendre ou de comprendre des choses compliquées à ce sujet, sur ce forum.
Et s'il s'avère que je me trompe, je serai le premier à le reconnaître. Je ne prétends pas avoir une connaissance parfaite de l'univers de Tolkien. Accroître ma compréhension est suffisante à mon bonheur.
EDIT : Je prie Zelphalya de me pardonner ce message. J'avais commencé à rédiger celui-ci avant qu'elle ne poste le sien. Et, non, je ne laisse pas passer de message à ce point insultant sans y répondre.
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* Tom Loback (à propos de M. Kloczko), VT #11, p.5.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland