15.06.2007, 17:47
Gamilrukhs a écrit :Là, je ne comprends pas pourquoi tu voudrais rendre immortelles les Nazgûl, qui sont et resteront toujours des Hommes mortelle destinés au trépas. Il est donc normal, bien que possédant une résistance supérieur aux autres Hommes, qu'ils meurent lorsqu'on leur porte un coup mortelle, comme celui d'Eowyn (après, pourquoi celui d'une femme et pas d'un homme vivant... va savoir).
Tout à fait. Se rappeler que plusieurs Seigneurs Nains moururent apparemment avec l'un des Anneaux des Nains au doigt. Sinon, comment expliquer que Tolkien affirme que certains de ces anneaux aient pu être détruits par le feu des dragons (je vois mal un dragon tenter de détruire un anneau de pouvoir sans raison pressante, telle un guerrier invisible qui le porterait).
Gamilrukhs a écrit :C'est vrai que l'esprit de l'ex Mage Blanc est très vite balayé, et j'aurais tendance à penser que, à force de lutte avec Sauron à travers son Palantir, Saruman à affaiblit de beaucoup son esprit ; et il ne faut pas oublier que Sauron [sic]lui casse son bâton et le raille [sic] de l'Ordre Blanc, et Saruman est alors remplacé dans ses fonction. Mais cela ne signifie pas forcément qu'il est "fini", et ne peut de toute façon pas mourir comme je l'ai déjà dit. on peut donc aisément croire que Saruman se "réincarnera" dans un nouveau corps.
Peu probable, vu la similarité entre la disparition de Saroumane et celle de Sauron. Ne pas oublier non plus que Tolkien précise que les Istari étaient devenus très liés à leur enveloppe corporelle au cours des siècles. Ne pas non plus oublier ce que Frodo dit à ce propos en observant la disparition de Saroumane (Frodo semble avoir acquis une certaine quantité de connaissance à ce sujet après que l'Anneau Unique fut détruit).
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland