29.03.2007, 07:36
Pour ce qui est des Tengwar, je ne crois pas que grand chose puisse être dit sur une telle production, sinon peut-être que l'on peut économiser quelques a aux passages (bien que ce soit le genre d'économie "de bouts de ficelle" dont on puiss se passer puisque les voyelles sont expirmées par des signes diacritiques qui ne font que participer de l'esthétique de la forme calligraphiée...).
Sinon, concernant le lien transmis par Meneldur, j'objecte ceci :
1) Ce site parle d'un usage quenya des Sarati, alors que les sources qu'il cite (Parma Eldalamberon n°13 pp. 62-3 & 66-71) traitent de qenya et non de quenya, ce qui n'est pas la même chose. Le seul exemple étant d'ailleurs un extrait d'un poème en qenya issu de Les monstres et les critiques.
2) Il n'est pas forcément pertinent de traduire en Sarati un phrase (même si elle a été modifiée) qui est issu d'une langue parlée en Terre du Milieu (le quenya exilien) mais dont on ne sait pas grand chose de son cousin d'Aman (en comparaison du quenya exilien j'entends).
3) Les Sarati n'avaient pas cours en Terre du Milieu.
Je pense que si l'on veut rester fidèle à l'univers de Tolkien, il serait plus pertinent de traduire cette phrase quasiment identique à celle d'Aragorn dans un système d'écriture notamment employé par Galadriel dans son poème Namárië, autrement dit le mode quenya des Tengwar.
Je n'ai pas pour habitude de jeter des fleurs à Ambar Eldaron mais en l'occurence, la webmistress propose sur son forum "linguistique" une version graphique de cette phrase ICI (il s'agit d'ailleurs de la version en Tengwar de la propre phrase de kamtcha, qui ne nous avait pas indiqué qu'elle avait posté ailleurs sa demande, cachotière). Cette version me semble, à priori, se conformer aux règles d'écriture du mode quenya des Tengwar tel que présenté dans Namárië (nul doute qu'il s'agisse d'ailleurs d'une traduction issue du Tengwar Scribe).
Sinon, concernant le lien transmis par Meneldur, j'objecte ceci :
1) Ce site parle d'un usage quenya des Sarati, alors que les sources qu'il cite (Parma Eldalamberon n°13 pp. 62-3 & 66-71) traitent de qenya et non de quenya, ce qui n'est pas la même chose. Le seul exemple étant d'ailleurs un extrait d'un poème en qenya issu de Les monstres et les critiques.
2) Il n'est pas forcément pertinent de traduire en Sarati un phrase (même si elle a été modifiée) qui est issu d'une langue parlée en Terre du Milieu (le quenya exilien) mais dont on ne sait pas grand chose de son cousin d'Aman (en comparaison du quenya exilien j'entends).
3) Les Sarati n'avaient pas cours en Terre du Milieu.
Je pense que si l'on veut rester fidèle à l'univers de Tolkien, il serait plus pertinent de traduire cette phrase quasiment identique à celle d'Aragorn dans un système d'écriture notamment employé par Galadriel dans son poème Namárië, autrement dit le mode quenya des Tengwar.
Je n'ai pas pour habitude de jeter des fleurs à Ambar Eldaron mais en l'occurence, la webmistress propose sur son forum "linguistique" une version graphique de cette phrase ICI (il s'agit d'ailleurs de la version en Tengwar de la propre phrase de kamtcha, qui ne nous avait pas indiqué qu'elle avait posté ailleurs sa demande, cachotière). Cette version me semble, à priori, se conformer aux règles d'écriture du mode quenya des Tengwar tel que présenté dans Namárië (nul doute qu'il s'agisse d'ailleurs d'une traduction issue du Tengwar Scribe).