30.09.2014, 23:45
Merci à tous pour cette grande entrevue. Ça valait la peine de la lire au complet.
Lorsque Daniel Lauzon dit qu'il a essayé de reproduire dans sa traduction "saveur et musique de l'original" du SdA, je le crois, même avant d'avoir lu le livre. L'entrevue le prouve, et son attachement humble face à Tolkien transparaît dans chacune de ses réponses. Ainsi que son immense compétence. Saveur et musique est, pour moi, d'une grande importance, car c'est ce que je ressens quand je lis Tolkien et ce pourquoi j'ai aussi tant d'attachement pour cet auteur. Mais pas seulement pour ça.
D'ailleurs, pour le Hobbit, il ne me viendrait plus à l'idée de lire la version de Ledoux, même si au début j'étais très réticente envers une nouvelle version. Par peur surtout de perdre ce sentiment d'émerveillement inexplicable, en lisant Tolkien. Par exemple, quand je lis aujourd'hui les poèmes en anglais du Hobbit, traduits par D. Lauzon, j'y trouve effectivement un plus grand rapprochement de l'original.
Voilà mon infime grain de sel.
Ingieris
Lorsque Daniel Lauzon dit qu'il a essayé de reproduire dans sa traduction "saveur et musique de l'original" du SdA, je le crois, même avant d'avoir lu le livre. L'entrevue le prouve, et son attachement humble face à Tolkien transparaît dans chacune de ses réponses. Ainsi que son immense compétence. Saveur et musique est, pour moi, d'une grande importance, car c'est ce que je ressens quand je lis Tolkien et ce pourquoi j'ai aussi tant d'attachement pour cet auteur. Mais pas seulement pour ça.
D'ailleurs, pour le Hobbit, il ne me viendrait plus à l'idée de lire la version de Ledoux, même si au début j'étais très réticente envers une nouvelle version. Par peur surtout de perdre ce sentiment d'émerveillement inexplicable, en lisant Tolkien. Par exemple, quand je lis aujourd'hui les poèmes en anglais du Hobbit, traduits par D. Lauzon, j'y trouve effectivement un plus grand rapprochement de l'original.
Voilà mon infime grain de sel.
Ingieris
L'esprit devient ce qu'en font les pensées, car les pensées de quelqu'un déteignent sur son âme. Marc-Aurèle (121-180)