06.09.2012, 21:00
Le "Il se pourrait" de Gandalf doit également être lu à l'once de sa modestie et de sa sagesse légendaires.
Rappelons-nous par exemple ce qu'il déclara lorsque Manwë lui demanda d'être émissaire en Terre du Milieu :
L'échange entre le Roi-Sorcier et Gandalf à la porte de la cité peut être interprété de différentes façons, en particulier à la lumière du premier paragraphe du chapitre 6 La Bataille des champs du Pelennor :
Mais quel que soit le point de vue adopter, associer ce passage à la seule arrivée des Rohirrim serait on ne peut plus réducteur.
Rappelons-nous par exemple ce qu'il déclara lorsque Manwë lui demanda d'être émissaire en Terre du Milieu :
Citation :Mais Olorin se déclara trop faible pour une telle mission, et dit qu'il redoutait Sauron.
L'échange entre le Roi-Sorcier et Gandalf à la porte de la cité peut être interprété de différentes façons, en particulier à la lumière du premier paragraphe du chapitre 6 La Bataille des champs du Pelennor :
Citation :Mais ce n'était ni un chef orque ni un brigand qui menait l'assaut contre Gondor. L'obscurité tombait trop tôt, avant la date décidée par le Maître : la fortune l'avait trahi pour le moment, et le monde s'était tourné contre lui, la victoire échappait à son étreinte comme il tendait la main pour la saisir. Mais il avait le bras long. Il commandait toujours et disposait de grands pouvoirs. Roi, Esprit Savant de l'Anneau, Seigneur des Nazgûl, il détenait maintes armes. Il quitta la Porte et disparut.
Mais quel que soit le point de vue adopter, associer ce passage à la seule arrivée des Rohirrim serait on ne peut plus réducteur.