04.12.2019, 20:06
Je vous invite en ma chaumière,
Tout en passant la porte ronde
Je vais éteindre la lumière,
Pour que l'on refasse le monde.
Ce modeste smial est le vôtre,
Vous pouvez vous y abriter,
Faisons cet espace le nôtre,
Sans avoir à trop cogiter ;
Je déposerai sur la table,
Des grandes feuilles de papier,
Pour y écrire nombre de fable,
La plume attend dans l'encrier.
Ce logis qui sera le nôtre,
Où nous allons nous y aimer,
Nous serons enfin l’un à l’autre,
J'y mettrai ma main à couper.
Je rêve de petits hobbits
Qui te ressemblent et me ressemblent
Qui courent, jouent et puis s'agitent
De cet amour créé ensemble.
Tout en passant la porte ronde
Je vais éteindre la lumière,
Pour que l'on refasse le monde.
Ce modeste smial est le vôtre,
Vous pouvez vous y abriter,
Faisons cet espace le nôtre,
Sans avoir à trop cogiter ;
Je déposerai sur la table,
Des grandes feuilles de papier,
Pour y écrire nombre de fable,
La plume attend dans l'encrier.
Ce logis qui sera le nôtre,
Où nous allons nous y aimer,
Nous serons enfin l’un à l’autre,
J'y mettrai ma main à couper.
Je rêve de petits hobbits
Qui te ressemblent et me ressemblent
Qui courent, jouent et puis s'agitent
De cet amour créé ensemble.