Les derniers heures du Seigneur des Ténèbres
Le Seigneur des Ténèbres était assis sur son sombre trône. Sa volonté se manifestait comme un œil rouge et sans paupières pénétrant dans les âmes creuses de ses créatures et les poussant vers sa victoire certaine.
Les peuples libres avaient refuser de se soumettre et Minas Tirith n'était pas tombée. Dans leurs folies, les hommes tentaient à présent une manœuvre de fous en se jetant dans la gueule du Mordor. Ils étaient si peu nombreux à le défier, une si faible armée devant les portes noires, prêts à défendre chèrement leurs misérables existences. Sauron était certain qu'après plusieurs milliers d'année la Terre du Milieu lui appartiendrait enfin. Cette bataille serait la dernière, celle qui le mènerait à la victoire finale contre ceux qui seraient bientôt ses esclaves. La seule chose qui lui manquait était son Anneau si précieux, cet objet contenant sa puissance et l'amplifiant quant il l'avait au doigt. Peu importait que l'Unique ne soit pas encore retrouvé. Lorsque ses griffes se refermeraient sur la Terre du Milieu, il aurait tout le loisir de torturer des hobbits dans les cachots de Barad-Dur, par le feu et le fer, afin de reprendre son bien. Son triomphe serait alors total et même les Valars finiraient par succomber. Il réussirait là où le Morgoth avait échoué. Morgoth, Melkor, ce nom semblait si lointains. Celui qui l'avait détourné de la lumière et lui avait révélé le chemin des Ombres n'était plus qu'un vague souvenir, celui d'un être qui avait échoué, qui avait dilapidé son pouvoir quant lui l'avait renforcé. Celui qui avait échoué quant lui était sur le point de devenir le maître incontesté d'Arda toute entière.
Soudain, montant du fond de ses entrailles brulantes, une sensation, comme un malaise s'empara de lui. Il sentait que son Anneau était tout proche. La Tour Sombre trembla de ses fondations ; un être était en train de lui disputer son pouvoir. Il dirigea sa volonté, son œil, en direction de l'endroit d'où provenait ce défi. Il découvrit l'Unique au milieu des Samath Naûr, entre les mains de ce misérable Sacquet. Le Hobbit était parvenue jusqu'au cœur de son royaume et était sur le point de détruire tous les rêves et l'existence même du Seigneur des Ténèbres. Cette vérité lui apparut comme un éclair l'aveuglant, il venait enfin de comprendre les stratagèmes de ses ennemis et comme il l'avait dupé. Sa colère devint incontrôlable et, montant du fond de son corps, comme un feu maléfique, elle jaillit de ses chairs s'ouvrant pour la laisser le dévorer. Il ne put se calmer, et sa terreur de voir la l'Unique être détruit se manifesta comme une vaste et noire fumée émanant de son bucher, l'englobant et l'étouffant. Dans un dernier sursaut de conscience, il surmonta sa rage et sa terreur et en appela à ses Nazgûls pour tenter d'empêcher l'inévitable.
Sa panique le fit complètement oublier ses créatures et les Orcs, abandonnés furent massacrer devant la porte noire. Les Nazgûls arrivèrent trop tard et Sauron assista impuissant à la chute de son Anneau dans le Mont du Destin. Instanément, sa colère et sa peur s'éteignirent comme toutes ses sensations. Il tenta de pousser un ultime cri de haine mais aucun son ne sortit de ses entrailles et son feu intérieur mourrut à jamais le laissant figé comme une statue de cendres. Elle resta immobile, dans la sombre salle du trône de Barad-Dur puis, tout passa. Elle se désagréga et tomba en poussière, soulevant une épaisse fumée. Imitant son créateur dans sa fin, la Tour Sombre s'écroula avec fracas et de sa ruine monta l'esprit enragé du Seigneur Ténébreux. Il s'éleva dans le ciel d'un Mordor en pleine implosion et se dressa comme une ombre impénétrable aux reflets luisants de feu et dont la colère encore vive explosait en éclairs. Il tendit sa main vers les hommes de l'ouest qui l'avaient abusé de la sorte. Un grand vent se leva alors pour le dissiper et il ne connut plus que le néant infinie du vide.
En esperant que celà vous à plue
Le Seigneur des Ténèbres était assis sur son sombre trône. Sa volonté se manifestait comme un œil rouge et sans paupières pénétrant dans les âmes creuses de ses créatures et les poussant vers sa victoire certaine.
Les peuples libres avaient refuser de se soumettre et Minas Tirith n'était pas tombée. Dans leurs folies, les hommes tentaient à présent une manœuvre de fous en se jetant dans la gueule du Mordor. Ils étaient si peu nombreux à le défier, une si faible armée devant les portes noires, prêts à défendre chèrement leurs misérables existences. Sauron était certain qu'après plusieurs milliers d'année la Terre du Milieu lui appartiendrait enfin. Cette bataille serait la dernière, celle qui le mènerait à la victoire finale contre ceux qui seraient bientôt ses esclaves. La seule chose qui lui manquait était son Anneau si précieux, cet objet contenant sa puissance et l'amplifiant quant il l'avait au doigt. Peu importait que l'Unique ne soit pas encore retrouvé. Lorsque ses griffes se refermeraient sur la Terre du Milieu, il aurait tout le loisir de torturer des hobbits dans les cachots de Barad-Dur, par le feu et le fer, afin de reprendre son bien. Son triomphe serait alors total et même les Valars finiraient par succomber. Il réussirait là où le Morgoth avait échoué. Morgoth, Melkor, ce nom semblait si lointains. Celui qui l'avait détourné de la lumière et lui avait révélé le chemin des Ombres n'était plus qu'un vague souvenir, celui d'un être qui avait échoué, qui avait dilapidé son pouvoir quant lui l'avait renforcé. Celui qui avait échoué quant lui était sur le point de devenir le maître incontesté d'Arda toute entière.
Soudain, montant du fond de ses entrailles brulantes, une sensation, comme un malaise s'empara de lui. Il sentait que son Anneau était tout proche. La Tour Sombre trembla de ses fondations ; un être était en train de lui disputer son pouvoir. Il dirigea sa volonté, son œil, en direction de l'endroit d'où provenait ce défi. Il découvrit l'Unique au milieu des Samath Naûr, entre les mains de ce misérable Sacquet. Le Hobbit était parvenue jusqu'au cœur de son royaume et était sur le point de détruire tous les rêves et l'existence même du Seigneur des Ténèbres. Cette vérité lui apparut comme un éclair l'aveuglant, il venait enfin de comprendre les stratagèmes de ses ennemis et comme il l'avait dupé. Sa colère devint incontrôlable et, montant du fond de son corps, comme un feu maléfique, elle jaillit de ses chairs s'ouvrant pour la laisser le dévorer. Il ne put se calmer, et sa terreur de voir la l'Unique être détruit se manifesta comme une vaste et noire fumée émanant de son bucher, l'englobant et l'étouffant. Dans un dernier sursaut de conscience, il surmonta sa rage et sa terreur et en appela à ses Nazgûls pour tenter d'empêcher l'inévitable.
Sa panique le fit complètement oublier ses créatures et les Orcs, abandonnés furent massacrer devant la porte noire. Les Nazgûls arrivèrent trop tard et Sauron assista impuissant à la chute de son Anneau dans le Mont du Destin. Instanément, sa colère et sa peur s'éteignirent comme toutes ses sensations. Il tenta de pousser un ultime cri de haine mais aucun son ne sortit de ses entrailles et son feu intérieur mourrut à jamais le laissant figé comme une statue de cendres. Elle resta immobile, dans la sombre salle du trône de Barad-Dur puis, tout passa. Elle se désagréga et tomba en poussière, soulevant une épaisse fumée. Imitant son créateur dans sa fin, la Tour Sombre s'écroula avec fracas et de sa ruine monta l'esprit enragé du Seigneur Ténébreux. Il s'éleva dans le ciel d'un Mordor en pleine implosion et se dressa comme une ombre impénétrable aux reflets luisants de feu et dont la colère encore vive explosait en éclairs. Il tendit sa main vers les hommes de l'ouest qui l'avaient abusé de la sorte. Un grand vent se leva alors pour le dissiper et il ne connut plus que le néant infinie du vide.
En esperant que celà vous à plue