22.06.2005, 19:26
Sur l'air de "L'homme de la cité" de Brel :
http://www.paroles.net/chansons/15712.htm
Une nouvelle parodie pour marquer mon départ en vances : à dans deux mois !
Pourvu que revienne un roi
A notre blanche cité,
Qui dicte de justes lois
Pour nous laisser espérer
Et quil soit pareil aux plantes
Curatives et agréables,
Quil soit à la fois ferme et aimable,
Et que les cris des passants,
De son peuple les louanges
Ne sonnent jamais fausses ni étranges.
Pourvu que revienne un roi
A notre blanche cité,
Que sa raison soit la foi
De tous ses gens assemblés,
Quil ne cède en aucun cas
Aux perfidies du Mordor
Mais parfois à la pitié encore,
Et quil repousse les orcs
Par delà la Porte Noire
Sans plus leur laisser aucun espoir.
Pourvu que revienne un roi
A notre blanche cité,
Quil soit le feu qui flamboie
Pour le chemin éclairer,
Que lon craigne sa vengeance
Mais admire sa justice,
Quil gagne le respect des milices,
Quil fasse régner la paix
Au cur même du Gondor,
Que plus jamais ny sonne le cor.
Pourvu que revienne un roi
A notre blanche cité,
Avant que lIntendant ploie
Et avec lui la cité,
Abusé par le pouvoir
De son trop cher palantir,
Se lasse de toujours voir
Et perde notre avenir.
Divitiac
http://www.paroles.net/chansons/15712.htm
Une nouvelle parodie pour marquer mon départ en vances : à dans deux mois !
Pourvu que revienne un roi
A notre blanche cité,
Qui dicte de justes lois
Pour nous laisser espérer
Et quil soit pareil aux plantes
Curatives et agréables,
Quil soit à la fois ferme et aimable,
Et que les cris des passants,
De son peuple les louanges
Ne sonnent jamais fausses ni étranges.
Pourvu que revienne un roi
A notre blanche cité,
Que sa raison soit la foi
De tous ses gens assemblés,
Quil ne cède en aucun cas
Aux perfidies du Mordor
Mais parfois à la pitié encore,
Et quil repousse les orcs
Par delà la Porte Noire
Sans plus leur laisser aucun espoir.
Pourvu que revienne un roi
A notre blanche cité,
Quil soit le feu qui flamboie
Pour le chemin éclairer,
Que lon craigne sa vengeance
Mais admire sa justice,
Quil gagne le respect des milices,
Quil fasse régner la paix
Au cur même du Gondor,
Que plus jamais ny sonne le cor.
Pourvu que revienne un roi
A notre blanche cité,
Avant que lIntendant ploie
Et avec lui la cité,
Abusé par le pouvoir
De son trop cher palantir,
Se lasse de toujours voir
Et perde notre avenir.
Divitiac