10.02.2005, 11:55
La complainte dOlwë
Assassine vision quest la grève roussie,
Autrefois si éclatante.
Meurtrière image quest lécume rougie,
Autrefois scintillante.
Toutes nos larmes ne parviendraient à purifier lintransigeante déraison.
Tous leurs implorants pardons ne sauraient à jamais faire honorer leur rédemption.
Ô Puissants ! Quen sera-t-il des chants languissants des Lindar ?
Ont-ils enfin rejoint la défunte splendeur dEzellohar ?
Brillante et glaciale bruine sur leurs visages déposées,
Glissent sur leurs lèvres lâpre saveur du dédain acquis.
Sombre et brûlante sève de vie en leurs corps dépossédés,
Séchappent leurs douces âmes au-delà de la nuit.
Ô PuissantS ! Quen est-il de nos rancurs à présent ?
Ressentirons-nous de la pitié pour nos parents ?
Désarmés nous étions par la colère affûtée sur la frêle pâleur de leurs longs tranchants.
Senorgueillit-elle aujourdhui du sang versé des siens ?
Dépossédés ils sont, anéantis nous sommes en nos curs pourfendus par le supplice cinglant.
Palpent-ils lamertume de nos pleurs portée par lembrun ?
Ô Puissants ! Que demeure-t-il en ce jour de lumière, sinon le sanglant souvenir du massacre de nos frères. Je suis Olwë, Seigneur Teleri, auparavant je fus leur ami.
Entendront-ils dans leurs rêves maudits le roulement inlassable des flots conduire les murmurantes lamentations des sans-vie leur rappeler : Alqualondë. Alqualondë
Assassine vision quest la grève roussie,
Autrefois si éclatante.
Meurtrière image quest lécume rougie,
Autrefois scintillante.
Toutes nos larmes ne parviendraient à purifier lintransigeante déraison.
Tous leurs implorants pardons ne sauraient à jamais faire honorer leur rédemption.
Ô Puissants ! Quen sera-t-il des chants languissants des Lindar ?
Ont-ils enfin rejoint la défunte splendeur dEzellohar ?
Brillante et glaciale bruine sur leurs visages déposées,
Glissent sur leurs lèvres lâpre saveur du dédain acquis.
Sombre et brûlante sève de vie en leurs corps dépossédés,
Séchappent leurs douces âmes au-delà de la nuit.
Ô PuissantS ! Quen est-il de nos rancurs à présent ?
Ressentirons-nous de la pitié pour nos parents ?
Désarmés nous étions par la colère affûtée sur la frêle pâleur de leurs longs tranchants.
Senorgueillit-elle aujourdhui du sang versé des siens ?
Dépossédés ils sont, anéantis nous sommes en nos curs pourfendus par le supplice cinglant.
Palpent-ils lamertume de nos pleurs portée par lembrun ?
Ô Puissants ! Que demeure-t-il en ce jour de lumière, sinon le sanglant souvenir du massacre de nos frères. Je suis Olwë, Seigneur Teleri, auparavant je fus leur ami.
Entendront-ils dans leurs rêves maudits le roulement inlassable des flots conduire les murmurantes lamentations des sans-vie leur rappeler : Alqualondë. Alqualondë