05.04.2004, 19:43
Complainte dArwen
Là-bas, oh ! derrière locéan,
Il y a cette île aux pommiers blancs,
Aux rives de clairs coquillages,
Qui mapparaît comme un mirage.
Là-bas, oh ! la nuit est tranquille,
Pleine de musique, sur lîle,
Et de laurore jusquau couchant ,
On entend résonner les chants
De mon peuple, Eldars que jaime !
Mais je suis à présent humaine,
Car jai donné mes très longs jours
Pour mon seigneur et mon amour.
Que la couronne était brillante
Sur le front de mon Atalante !
Hélas, il sommeille sous la pierre,
Et mes larmes ny peuvent rien faire ;
Je devrais vivre mon chagrin
Jusquà la fin de mon destin,
Et quEa même soit changé,
Ce jour je le retrouverais !
Je veille seule au bord des vagues,
Mon cur à feu et sang divague,
Je verrais mourir mes enfants,
Je suis si loin de mes parents ;
Pourquoi as-tu quitté la vie,
Toi que jaimais, que je chéris ?
Je me sens si abandonnée,
Plus jamais je ne pourrais aller
Vers ceux dont je suis séparée,
Et que jentends encore chanter
Dans le ressac de locéan
Et dans le cri des oiseaux blancs.
Je voudrais tant être mortelle
Pour dormir sous une froide stèle !
Là-bas, oh ! derrière locéan
Mattendent les miens, tristement.
Là-bas, oh ! derrière locéan,
Il y a cette île aux pommiers blancs,
Aux rives de clairs coquillages,
Qui mapparaît comme un mirage.
Là-bas, oh ! la nuit est tranquille,
Pleine de musique, sur lîle,
Et de laurore jusquau couchant ,
On entend résonner les chants
De mon peuple, Eldars que jaime !
Mais je suis à présent humaine,
Car jai donné mes très longs jours
Pour mon seigneur et mon amour.
Que la couronne était brillante
Sur le front de mon Atalante !
Hélas, il sommeille sous la pierre,
Et mes larmes ny peuvent rien faire ;
Je devrais vivre mon chagrin
Jusquà la fin de mon destin,
Et quEa même soit changé,
Ce jour je le retrouverais !
Je veille seule au bord des vagues,
Mon cur à feu et sang divague,
Je verrais mourir mes enfants,
Je suis si loin de mes parents ;
Pourquoi as-tu quitté la vie,
Toi que jaimais, que je chéris ?
Je me sens si abandonnée,
Plus jamais je ne pourrais aller
Vers ceux dont je suis séparée,
Et que jentends encore chanter
Dans le ressac de locéan
Et dans le cri des oiseaux blancs.
Je voudrais tant être mortelle
Pour dormir sous une froide stèle !
Là-bas, oh ! derrière locéan
Mattendent les miens, tristement.