07.04.2004, 17:49
chant de hùrin
.qui nest pas de moi . Cest inspiré dune chanson que jai traduite et qui me fait beaucoup penser à hùrin devant la tombe de morwen :cry: . Jai juste changé quelques détails pour le faire correspondre et quelques mots pour les rimes.
Cest un tertre tranquille
Dans la belle forêt de Brethil
Là jégrène mes nuits,
Mes nuits et mes jours aussi ;
Là mes larmes amères
Viennent arroser la terre,
Morwen, ma bien-aimée
Dors sous la terre refermée.
Ma bien aimée est morte,
Mon cur ferme maintenant ses portes,
Passée, ma dernière chance,
Et ma dernière espérance,
Je songe à mon triste sort
Et je maudis la Mort,
Qui menlève morwen
Et me donne tant de peines.
Viennent les maux du monde,
les orcs avec leurs épées, leurs frondes,
hâtez-vous, je vous en prie,
que finisse ma pauvre vie ;
je vous en prie, venez
sans tarder pour mapaiser,
que finissent mes jours
pour revoir mon amour !
je suis infirme, hélas !
sans la moitié de moi ;
le navire de ma vie
brisé, accostera ici.
Le voyage est fini,
Quil fut douloureux et gris !
Enfin vais-je partir,
Enfin fais-je périr.
.qui nest pas de moi . Cest inspiré dune chanson que jai traduite et qui me fait beaucoup penser à hùrin devant la tombe de morwen :cry: . Jai juste changé quelques détails pour le faire correspondre et quelques mots pour les rimes.
Cest un tertre tranquille
Dans la belle forêt de Brethil
Là jégrène mes nuits,
Mes nuits et mes jours aussi ;
Là mes larmes amères
Viennent arroser la terre,
Morwen, ma bien-aimée
Dors sous la terre refermée.
Ma bien aimée est morte,
Mon cur ferme maintenant ses portes,
Passée, ma dernière chance,
Et ma dernière espérance,
Je songe à mon triste sort
Et je maudis la Mort,
Qui menlève morwen
Et me donne tant de peines.
Viennent les maux du monde,
les orcs avec leurs épées, leurs frondes,
hâtez-vous, je vous en prie,
que finisse ma pauvre vie ;
je vous en prie, venez
sans tarder pour mapaiser,
que finissent mes jours
pour revoir mon amour !
je suis infirme, hélas !
sans la moitié de moi ;
le navire de ma vie
brisé, accostera ici.
Le voyage est fini,
Quil fut douloureux et gris !
Enfin vais-je partir,
Enfin fais-je périr.