04.06.2004, 14:57
Je suis d'accord avec toi Alcarnarmo.
je ne prétend pas qu'il faille remplacer le sens critique de chacun par celui (même bien intentionné) de quelqu'un d'autre.
Concernant les langues que le professeur inventa, il revient à chaque personne intéressée de se forger sa propre opinion et sa prope perception de son oeuvre.
Mais je reste persuadé que des cours compilé par quelqu'un de passioné et de surcroit compétent en la matière ne peut qu'aider les débutants à mieux percevoir les grandes lignes de ce travail et ainsi éviter de se perdre trop longtemps dans les méandres de cette oeuvre colossale.
Je reconnais à mon grand regret ne pas être un connaisseur chevronné de la manière de manier le Quenya ou toute autre langue que Tolkien inventa d'ailleurs. Mais depuis que j'ai découvert la sous-création de Tolkien (et en particulier les langues) par l'intermédiaire de l'excellent premier volume de l'encyclopédie de E. Kloczko en 1998, je me suis passionné pour les mots Quenya et plus récemment pour le Sindarin.
Je découvris par là-même un univers foisonnant et je me suis vite retrouvé engorgé dans mes propres recherches, n'ayant de cesse d'approfondir toujours plus jusqu'à me perdre.
De cette désagréable expérience, j'ai acquis un peu de rigueur et de recul.
Je pense que ce genre d'expérience n'est pas à conseiller à tout jeune étudiant des langues de Tolkien. C'est pour cela qu'il ne me semble pas inopportun que quelqu'un de compétent ai proposé une base plus "élaguée", car nous ne sommes (loin s'en faut) pas tous des ingénieur en linguistique.
Lomelinde
je ne prétend pas qu'il faille remplacer le sens critique de chacun par celui (même bien intentionné) de quelqu'un d'autre.
Concernant les langues que le professeur inventa, il revient à chaque personne intéressée de se forger sa propre opinion et sa prope perception de son oeuvre.
Mais je reste persuadé que des cours compilé par quelqu'un de passioné et de surcroit compétent en la matière ne peut qu'aider les débutants à mieux percevoir les grandes lignes de ce travail et ainsi éviter de se perdre trop longtemps dans les méandres de cette oeuvre colossale.
Je reconnais à mon grand regret ne pas être un connaisseur chevronné de la manière de manier le Quenya ou toute autre langue que Tolkien inventa d'ailleurs. Mais depuis que j'ai découvert la sous-création de Tolkien (et en particulier les langues) par l'intermédiaire de l'excellent premier volume de l'encyclopédie de E. Kloczko en 1998, je me suis passionné pour les mots Quenya et plus récemment pour le Sindarin.
Je découvris par là-même un univers foisonnant et je me suis vite retrouvé engorgé dans mes propres recherches, n'ayant de cesse d'approfondir toujours plus jusqu'à me perdre.
De cette désagréable expérience, j'ai acquis un peu de rigueur et de recul.
Je pense que ce genre d'expérience n'est pas à conseiller à tout jeune étudiant des langues de Tolkien. C'est pour cela qu'il ne me semble pas inopportun que quelqu'un de compétent ai proposé une base plus "élaguée", car nous ne sommes (loin s'en faut) pas tous des ingénieur en linguistique.
Lomelinde