Turb a écrit :Mais les poèmes de HoMe III - dont je parlais - ne nécessitent-il pas justement de solides connaissances en anglais médiéval ? Si ce n'est pas le cas, c'est simplement que mon anglais n'est pas assez bon pour le lire confortablement [...]
À mon avis, la lecture des Lais comporte de sérieuses difficultés même pour les locuteurs ordinaires de l'anglais. Ce n'est pas Mallarmé, bien entendu, mais les nombreux archaïsmes de forme et de structure, couplés à un anglais parfois torturé par l'écriture en vers, posent tout naturellement des problèmes. Rien qui ne puisse être résolu par un décryptage plus approfondi (lorsqu'il faut traduire), mais il faut à la base une parfaite connaissance du naturel de la langue, afin d'être mieux à même d'en distinguer le "surnaturel".
C'est du moins mon approche (largement autodidacte).
Daniel