L'origine reptilienne des Vers (et non pas Vert, qui est certainement une erreur de typo lors de l'impression de Bilbo le Hobbit...) est attestée par le nom que prennent les Dragons dans le lexique quenya, puisque le mot lókë signifie "serpent" et est dérivé de la racine lóko, qui peut être traduite par "entortiller, tordre, faire tourner, faire boucler" (*). Cette racine se retrouve dans les noms qui servent à désigner les diverses espèces de Dragons : urulókë (litt. "serpent de feu", pl. urulóki) ; foalókë (litt. "serpent qui garde un trésor", pl. foalóki) ; ramalókë (litt. "serpent ailé", pl. ramalóki) et lingwilókë (litt. "serpent mouillé" , pl. lingwilóki) (**).
Il existe donc quatre types de Dragons/Vers.
(*) J.R.R. Tolkien, Histoire de la Terre du Milieu II. Le second livre des contes perdus, Paris, Christian Bourgois éditeur, 1998, Appendice, \"Les noms dans les Contes perdus Deuxième partie\", p. 435.
(**) Pour plus de précisions sur les noms des Dragons dans le lexique Quenya, se reporter à J.R.R. Tolkien, The History of Middle Earth, vol. 5 : The Lost Road and Other Writings, éd. de Christopher Tolkien, Londres, Unwin Paperbacks, 1989, \"Language and Legends Before The Lord of the Rings\", III, The Etymologies, p. 370.
Cordialement,
Tilkalin.
Il existe donc quatre types de Dragons/Vers.
(*) J.R.R. Tolkien, Histoire de la Terre du Milieu II. Le second livre des contes perdus, Paris, Christian Bourgois éditeur, 1998, Appendice, \"Les noms dans les Contes perdus Deuxième partie\", p. 435.
(**) Pour plus de précisions sur les noms des Dragons dans le lexique Quenya, se reporter à J.R.R. Tolkien, The History of Middle Earth, vol. 5 : The Lost Road and Other Writings, éd. de Christopher Tolkien, Londres, Unwin Paperbacks, 1989, \"Language and Legends Before The Lord of the Rings\", III, The Etymologies, p. 370.
Cordialement,
Tilkalin.
L'enfant ignorant qui se fait un jeu des exploits de son père ne croit pas se moquer, mais pense qu'il est le fils de son père