On peut tout de même se demander si c'est bien du ressort de l'E.L.F. de commenter et d'annoter les textes inédits qu'ils publient. Ce travail d'annotation et de commentaire est certes parfois intéressant (notamment lorsque les éditeurs citent un extrait d'un texte inédit ce qui peu aussi énerver un peu !) mais il est bien souvent inutile et prend beaucoup de temps, et de place, surtout dans les VT (parfois plus de la moitié d'un numéro de VT). De ce point de vue, la qualité éditoriale de PE est supérieure à celle de VT : les textes sont publiés de façon chronologique (grosso-modo) et regroupés de façon plus cohérente, et des fac-similés sont souvent inclus (le format y est aussi pour quelque chose, je pense).
L'idéal aurait été la publication d'éditions diplomatique des texte (fac-similé d'un côté, transcription de l'autre).
Avant que Christopher ne donne son accord, l'E.L.F. publiait principalement des études sur les langues inventées de Tolkien, et même... des compositions en néo-elfique !
Pour ce qui est du sérieux de l'équipe de l'E.L.F., on peut regretter qu'aucun des membres ne soit linguiste, philologue ou éditeur de profession. Ils sont certes très motivés et présents dans le domaine des études tolkiéniennes depuis longtemps, mais ils effectuent ce travail sur leurs loisirs (d'où la lenteur du rythme de publication, que certains regrettent, mais ceux-là n'ont généralement pas mis le nez dans ces publications : il y a de quoi faire pour des années !).
Sébastien.
L'idéal aurait été la publication d'éditions diplomatique des texte (fac-similé d'un côté, transcription de l'autre).
Dior a écrit :Pourquoi eux ? Le sérieux de leur travail a dû convaincre Christopher, j'imagine.
Avant que Christopher ne donne son accord, l'E.L.F. publiait principalement des études sur les langues inventées de Tolkien, et même... des compositions en néo-elfique !

Pour ce qui est du sérieux de l'équipe de l'E.L.F., on peut regretter qu'aucun des membres ne soit linguiste, philologue ou éditeur de profession. Ils sont certes très motivés et présents dans le domaine des études tolkiéniennes depuis longtemps, mais ils effectuent ce travail sur leurs loisirs (d'où la lenteur du rythme de publication, que certains regrettent, mais ceux-là n'ont généralement pas mis le nez dans ces publications : il y a de quoi faire pour des années !).
Sébastien.