26.12.2010, 19:54
Je pense que l'on peut reprendre à notre compte ce passage (PE19:68, OP2 ; l'emphase est mienne) :
Car nous passons bel et bien "des déductions et des comparaisons" à des informations bien plus explicites.
Les évolutions entre OP1 et OP2 sont intéressantes. On sera amusé de voir que dans OP1 Tolkien traite du terme Quenya issu du Parmaquesta kwendya (PE19:46), tandis que dans OP2, cette relation est devenue "a mistake due to supposition that kwenya was properly kwendya" (PE19:93).
On trouve également quelques passages savoureux, comme la référence à l'emprunt de inzil 'fleur, lis' à la "langue des Atani" (PE19:99) qui devint insil en ñoldorin exilique (qui pourrait permettre de recréer une forme exilique de l'ad. Rôthinzil par exemple) ; l'étymologie de Rauros(se) (PE19:99) ou la référence à la racine NASAG et à ses dérivés, tels que les formes q. naxa , nasque ; le probable emprunt de Melkor qui donna le fameux nazg (PE19:101) ou encore les quelques tengwar disséminées dans les textes.
Bref, pas mal de passages très techniques, un certain nombre de jolies perles et de nouveaux outils interopérables entre eux ou avec d'autres documents.
Citation :It is plainly from such sources that the loremasters of the Noldor derived their knowledge of 'Common Eldarin,' which is often seen to be more precise and detailed than the deductions of comparisons could be, if based only on the later written languages of the Eldar.
Car nous passons bel et bien "des déductions et des comparaisons" à des informations bien plus explicites.
Les évolutions entre OP1 et OP2 sont intéressantes. On sera amusé de voir que dans OP1 Tolkien traite du terme Quenya issu du Parmaquesta kwendya (PE19:46), tandis que dans OP2, cette relation est devenue "a mistake due to supposition that kwenya was properly kwendya" (PE19:93).
On trouve également quelques passages savoureux, comme la référence à l'emprunt de inzil 'fleur, lis' à la "langue des Atani" (PE19:99) qui devint insil en ñoldorin exilique (qui pourrait permettre de recréer une forme exilique de l'ad. Rôthinzil par exemple) ; l'étymologie de Rauros(se) (PE19:99) ou la référence à la racine NASAG et à ses dérivés, tels que les formes q. naxa , nasque ; le probable emprunt de Melkor qui donna le fameux nazg (PE19:101) ou encore les quelques tengwar disséminées dans les textes.
Bref, pas mal de passages très techniques, un certain nombre de jolies perles et de nouveaux outils interopérables entre eux ou avec d'autres documents.
