28.10.2006, 18:32
Au-dessus de ma tête, un astre me sourit,
Indiquant le Grand Nord, où demeure un bonheur,
Que jamais je n’ai pu, admirer de mes yeux.
Dans l’ombre d’un buisson, je vois un fruit mûri,
Qui pend, appétissante, et qui accroît mon heur.
Un jour également, je serai tel ce fruit,
Robuste et belle à voir, d’une ardeur de cent feux,
A cette rêverie, d’un grand éclat je ris,
Car la route est longue, sous le ciel étoilé…
Plein d’entrain, je me lève, et me met à marcher,
Sous ma belle étoile, vers l’avenir voilé…
Indiquant le Grand Nord, où demeure un bonheur,
Que jamais je n’ai pu, admirer de mes yeux.
Dans l’ombre d’un buisson, je vois un fruit mûri,
Qui pend, appétissante, et qui accroît mon heur.
Un jour également, je serai tel ce fruit,
Robuste et belle à voir, d’une ardeur de cent feux,
A cette rêverie, d’un grand éclat je ris,
Car la route est longue, sous le ciel étoilé…
Plein d’entrain, je me lève, et me met à marcher,
Sous ma belle étoile, vers l’avenir voilé…
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Voici un poème que Varda et les étoiles m'ont inspiré, bien que le thème ne soit pas forcément lié.
Voilà, pour ce poème au rythme très doux, j'ai décidé d'accentuer la césure en coupant chaque fois les hémistiches par une virgule.
Comme d'habitude, vos remarques et suggestions pour améliorer le travail sont reçus volontiers pour améliorer mon humble oeuvre.
Elros Tar-Minyatur