24.08.2003, 02:17
Le combat d'Eärendil
J'étais contre son flanc de basalte luisant,
Suffoquant un moment dans son souffle brûlant.
J'étais là près du monstre au regard fulminant,
Détaché de ce monde par ses yeux captivants.
Il dressait dans les airs sa silhouette séculaire,
Avalant de son ombre et l'azur et la terre.
Il jetait sur la nuit et terreur et misère,
Reflétant les desseins de son maître de guerre.
J'étais là frissonant et semblais impuissant,
Brandissant contre lui et mon fer et mon gant.
J'étais là à portée de ses crocs malfaisants,
Fasciné par sa gueule, cet âtre flambant.
Il enflait, désenflait et crachait sa fumée,
Rugissant de fureur et de férocité.
Il marchait vers mon arme d'un pas assuré,
Méprisant de son être et sans moindre pitié.
J'engageais et menais ce combat singulier,
Percutant l'animal de mon glaive affilé.
J'évitais ses ergots et le fis tituber,
Terrassé il chuta dans la sombre vallée.
Il avait dans sa lutte emporté les sommets
Du grand Thangorodrim maintenant écrêté.
Il gisait transpercé, le soleil se levait,
Eclairant les massacres et cités sacagées.
J'écoutais mon étoile à mon front accrochée,
Me criant donne espoir et courage désormais.
J'observais tous les hommes et me dis : « guides-les »,
Devenant leur étoile que la nuit défirait.
-Teret qui aurai bien rajouté encore une strophe sur la fin pour développer le fait qu'Eärendil à bord du Vingilot devient « Venus » ou l'étoile du bergé (revenant chaque soir pour combattre la nuit (dragon noir) et restant au matin savourer sa victoire).-
Illustration de moi même ^^.
J'étais contre son flanc de basalte luisant,
Suffoquant un moment dans son souffle brûlant.
J'étais là près du monstre au regard fulminant,
Détaché de ce monde par ses yeux captivants.
Il dressait dans les airs sa silhouette séculaire,
Avalant de son ombre et l'azur et la terre.
Il jetait sur la nuit et terreur et misère,
Reflétant les desseins de son maître de guerre.
J'étais là frissonant et semblais impuissant,
Brandissant contre lui et mon fer et mon gant.
J'étais là à portée de ses crocs malfaisants,
Fasciné par sa gueule, cet âtre flambant.
Il enflait, désenflait et crachait sa fumée,
Rugissant de fureur et de férocité.
Il marchait vers mon arme d'un pas assuré,
Méprisant de son être et sans moindre pitié.
J'engageais et menais ce combat singulier,
Percutant l'animal de mon glaive affilé.
J'évitais ses ergots et le fis tituber,
Terrassé il chuta dans la sombre vallée.
Il avait dans sa lutte emporté les sommets
Du grand Thangorodrim maintenant écrêté.
Il gisait transpercé, le soleil se levait,
Eclairant les massacres et cités sacagées.
J'écoutais mon étoile à mon front accrochée,
Me criant donne espoir et courage désormais.
J'observais tous les hommes et me dis : « guides-les »,
Devenant leur étoile que la nuit défirait.
-Teret qui aurai bien rajouté encore une strophe sur la fin pour développer le fait qu'Eärendil à bord du Vingilot devient « Venus » ou l'étoile du bergé (revenant chaque soir pour combattre la nuit (dragon noir) et restant au matin savourer sa victoire).-
Illustration de moi même ^^.