04.09.2007, 10:49
(Modification du message : 09.09.2007, 09:41 par Gamilrukhs.)
Bonjour à tous,
Voilà, j'ai décidé d'écrire une suite de poème sur la vie de Smaug, de son arrivée sur la Brande Desséchée avec ses frère, à sa mort lors du sac d'Esgaroth sur le Long Lac, en passant pas le sac de Dale et la ruine d'Erebor.
Je tenais donc à vous faire par de ces poèmes, pour une grande partie déjà écrit sous forme de brouillon, et je les poste donc ici, dans l'ordre d'écriture. Je commence donc par La Colère de Smaug, et suit ensuite Le Sac de Dale...!
Merci de tous vos commentaires,
---------------------------
"La Colère de Smaug
La nuit froide tombait sur ce Mont de misère,
Un souffle trop léger bruissait dans la forêt,
Sur la ville endormie personne ne bougeait,
Mais du lointain terni maintes lumières brillèrent.
Bientôt un cri survint comme d'un vilain rêve,
Le feu brûlant en lui le Vieux Dragon sortit,
En volant de ses ailes en évinçant la nuit,
Parcourant les terres sèches et meurtries vers la grève.
Tout la ville fut alors emplie de cris de pleurs,
Sur elle Smaug fendit crachant son feu blafard,
Plongeant l'ilot brûlant dans un affreux cauchemar,
Il abattit sur lui ses nuées de malheur.
Les soldats alors blêmes furent comme changés en pierre,
Les habitants courant montèrent dans les barques,
De la foule s'avança l'imposant Homme à l'Arc,
Un oiseaux près de lui voletant dans les airs.
Et c'est jusqu'au matin au lever du Soleil,
Que Bard combattit le Dragon et sa rage,
Consumé jusqu'aux chairs mais armé de courage,
Jusqu'à la dernière flèche à un tir sans pareil.
Oh Smaug !
Ton corps est bien tombé au plus profond de l'eau,
Mais ton perfide esprit hante toujours ces lieux,
En dessous à mille lieues de cette surface bleue,
Qui couve l'âme cendreuse contrainte à ce cachot.
FINI ou en langue vulgaire [comme dirait J.R.R.Tolkien], FIN"
---------------------------
"Le Sac de Dale
Des Hauts Monts du Nord le Dragon prit son vol,
Laissant derrière lui la lande sèche de ses Frères,
Trainant une ombre ténébreuse sur le sol,
Et nombre de fumées aux senteurs de chairs.
Attiré par l'or brillant comme son corps,
Le serpent aux magnifique couleurs écarlates,
Sur le Mont Solitaire posa ses viles pattes,
Au son des cloches de Dale, des forges d'Erebor.
Et il cracha son brouillard noirâtre et chaud,
La gaieté se mua bientôt en complaintes,
Les guerriers s'armèrent tout emplis de craintes,
Et en réponse s'éleva un écho.
Un cri rocailleux perdu dans le brouillard,
Grand hurlement sonore indéfinissable,
Suivi de mille dards rouges venus de nul part,
Chaleur suffocante du Vers exécrable.
Le gris ciel rougit au-dessus de la ville,
Le silence tomba pour se faire pesant,
Tous les regards portés vers ce Mont brulant,
Au milieu des cendres se tenant comme une ile.
Alors le Dragon fondit sur Dale la fière,
Lumière dorée captivante et terrifiante,
D'un souffle chaud qui fit trembler la Terre,
Ils carbonisa les maisons sous les pentes.
Et le sang coula vers la triste rivière,
Déversant des flots de sinistre liquide,
Tout mêlé de boue, de cendres arides,
Et de larmes grises et de lambeaux de chair.
FINI [...] FIN"
---------------------------
PS: pour "Le Sac de Dale", il est préférable de bien appuyer le premier pied de chaque vers, pour ainsi donner un rythme...^^!
Gamilrukhs.
Voilà, j'ai décidé d'écrire une suite de poème sur la vie de Smaug, de son arrivée sur la Brande Desséchée avec ses frère, à sa mort lors du sac d'Esgaroth sur le Long Lac, en passant pas le sac de Dale et la ruine d'Erebor.
Je tenais donc à vous faire par de ces poèmes, pour une grande partie déjà écrit sous forme de brouillon, et je les poste donc ici, dans l'ordre d'écriture. Je commence donc par La Colère de Smaug, et suit ensuite Le Sac de Dale...!
Merci de tous vos commentaires,
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"La Colère de Smaug
La nuit froide tombait sur ce Mont de misère,
Un souffle trop léger bruissait dans la forêt,
Sur la ville endormie personne ne bougeait,
Mais du lointain terni maintes lumières brillèrent.
Bientôt un cri survint comme d'un vilain rêve,
Le feu brûlant en lui le Vieux Dragon sortit,
En volant de ses ailes en évinçant la nuit,
Parcourant les terres sèches et meurtries vers la grève.
Tout la ville fut alors emplie de cris de pleurs,
Sur elle Smaug fendit crachant son feu blafard,
Plongeant l'ilot brûlant dans un affreux cauchemar,
Il abattit sur lui ses nuées de malheur.
Les soldats alors blêmes furent comme changés en pierre,
Les habitants courant montèrent dans les barques,
De la foule s'avança l'imposant Homme à l'Arc,
Un oiseaux près de lui voletant dans les airs.
Et c'est jusqu'au matin au lever du Soleil,
Que Bard combattit le Dragon et sa rage,
Consumé jusqu'aux chairs mais armé de courage,
Jusqu'à la dernière flèche à un tir sans pareil.
Oh Smaug !
Ton corps est bien tombé au plus profond de l'eau,
Mais ton perfide esprit hante toujours ces lieux,
En dessous à mille lieues de cette surface bleue,
Qui couve l'âme cendreuse contrainte à ce cachot.
FINI ou en langue vulgaire [comme dirait J.R.R.Tolkien], FIN"
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"Le Sac de Dale
Des Hauts Monts du Nord le Dragon prit son vol,
Laissant derrière lui la lande sèche de ses Frères,
Trainant une ombre ténébreuse sur le sol,
Et nombre de fumées aux senteurs de chairs.
Attiré par l'or brillant comme son corps,
Le serpent aux magnifique couleurs écarlates,
Sur le Mont Solitaire posa ses viles pattes,
Au son des cloches de Dale, des forges d'Erebor.
Et il cracha son brouillard noirâtre et chaud,
La gaieté se mua bientôt en complaintes,
Les guerriers s'armèrent tout emplis de craintes,
Et en réponse s'éleva un écho.
Un cri rocailleux perdu dans le brouillard,
Grand hurlement sonore indéfinissable,
Suivi de mille dards rouges venus de nul part,
Chaleur suffocante du Vers exécrable.
Le gris ciel rougit au-dessus de la ville,
Le silence tomba pour se faire pesant,
Tous les regards portés vers ce Mont brulant,
Au milieu des cendres se tenant comme une ile.
Alors le Dragon fondit sur Dale la fière,
Lumière dorée captivante et terrifiante,
D'un souffle chaud qui fit trembler la Terre,
Ils carbonisa les maisons sous les pentes.
Et le sang coula vers la triste rivière,
Déversant des flots de sinistre liquide,
Tout mêlé de boue, de cendres arides,
Et de larmes grises et de lambeaux de chair.
FINI [...] FIN"
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PS: pour "Le Sac de Dale", il est préférable de bien appuyer le premier pied de chaque vers, pour ainsi donner un rythme...^^!
Gamilrukhs.