09.12.2009, 07:27
Sur la forme
Je voudrait >> Je voudrais
où la forme du pluriel subjectif neutre Narīka est attesté >> où la forme du pluriel subjectif neutre Narīka est attestée
les plus ordinaires variétés d'aigles n'étant ni habités par des esprits, ni parlants, ni assistants de magiciens >> les variétés d'aigles plus ordinaires qui ne sont pas habités par des esprits, ne parlent pas ni n'assistent les magiciens
le nom que ces génitifs modifient est implicite plutôt qu'explicitement présent >> le nom que ces génitifs modifient est présent de manière plus implicite qu'explicite
Sur le fond
Concernant le préfixe an-, de nouveaux éléments présents dans le PE17 (cf. notamment p. 90-1) peuvent être cités.
Sur la métathèse, je n'ai plus le PE17 entièrement en tête mais il pourrait peut-être contenir des éléments à ce sujet. Concernant le PE18, on notera des remarques intéressantes, comme celle-ci (p. 93) :
La traduction de *anaxarta comme *« excessivement rapide et élevé » est très intéressante. Serait-il possible d'imaginer que le dernier élément (-arta) se lise en fait -artar même au singulier et soit en fait en rapport avec Aratar ? Cependant, je conçois que l'idée peut apparaître quelque peu saugrenue.
Je voudrait >> Je voudrais
où la forme du pluriel subjectif neutre Narīka est attesté >> où la forme du pluriel subjectif neutre Narīka est attestée
les plus ordinaires variétés d'aigles n'étant ni habités par des esprits, ni parlants, ni assistants de magiciens >> les variétés d'aigles plus ordinaires qui ne sont pas habités par des esprits, ne parlent pas ni n'assistent les magiciens
le nom que ces génitifs modifient est implicite plutôt qu'explicitement présent >> le nom que ces génitifs modifient est présent de manière plus implicite qu'explicite
Sur le fond
Concernant le préfixe an-, de nouveaux éléments présents dans le PE17 (cf. notamment p. 90-1) peuvent être cités.
Sur la métathèse, je n'ai plus le PE17 entièrement en tête mais il pourrait peut-être contenir des éléments à ce sujet. Concernant le PE18, on notera des remarques intéressantes, comme celle-ci (p. 93) :
Citation : L'inversion fréquente de sp, sk (sph/skh) en ps, ks en positions initiale ou médiale était une caractéristique notable du quenya, le dernier (rarement ts) étant tolérés dans des combinaisons initiales en quenya jusqu'à la fin de la période classique.
La traduction de *anaxarta comme *« excessivement rapide et élevé » est très intéressante. Serait-il possible d'imaginer que le dernier élément (-arta) se lise en fait -artar même au singulier et soit en fait en rapport avec Aratar ? Cependant, je conçois que l'idée peut apparaître quelque peu saugrenue.