21.08.2008, 21:24
Par expérience, si l'on maîtrise une langue imparfaitement, essayer de lire un livre dans le langage en question est fatigant, très. D'autant plus s'il s'agit d'un ouvrage d'analyse qui demande par lui-même pas mal d'efforts de mémoire et quelque réflexion.
D'où ma suggestion de toujours commencer par un ouvrage relativement simple, pas trop long, que l'on a déjà lu en traduction (pour donner du contexte) : par exemple The Hobbit.
Une fois le cap des deux premiers ouvrages dépassés, les progrès ont généralement été tellement fulgurant que l'on peut lire n'importe quoi ou presque.
Maintenant, si l'on veut quand même découvrir quelque chose de neuf dès sa première lecture, il y a la solution du Annotated Hobbit (que je ne connaissais pas à l'époque) : comme les commentaires sont en regard du texte, on peut choisir de lire ou de s'en passer, avantage considérable s'il en est.
En a parte, V. Ferré m'a jadis signalé qu'il souhaitait bel et bien traduire l'Annotated Hobbit (et retraduire The Hobbit par la même occasion), mais que ce travail avait une priorité inférieure à la publication des HoME. Donc pas pour demain, je pense.
D'où ma suggestion de toujours commencer par un ouvrage relativement simple, pas trop long, que l'on a déjà lu en traduction (pour donner du contexte) : par exemple The Hobbit.
Une fois le cap des deux premiers ouvrages dépassés, les progrès ont généralement été tellement fulgurant que l'on peut lire n'importe quoi ou presque.
Maintenant, si l'on veut quand même découvrir quelque chose de neuf dès sa première lecture, il y a la solution du Annotated Hobbit (que je ne connaissais pas à l'époque) : comme les commentaires sont en regard du texte, on peut choisir de lire ou de s'en passer, avantage considérable s'il en est.
En a parte, V. Ferré m'a jadis signalé qu'il souhaitait bel et bien traduire l'Annotated Hobbit (et retraduire The Hobbit par la même occasion), mais que ce travail avait une priorité inférieure à la publication des HoME. Donc pas pour demain, je pense.

Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland