02.02.2006, 20:08
en voici un que vous allez peut-être trouver bizarre, mais qui a été longuement réfléchi...
Mort et carnage qui savancent,
Ombre effroyable, desséchée ;
Rire cruel, plein de démence,
Glaces et flammes emmêlées !
Orage, terreur de nuit noire !
Ton manteau de ténèbre qui couvrit Valimar
Hurle encore et toujours dans tous nos cauchemars !
Pourquoi reviennent-ils, tes échos déchaînés,
Résonant froidement dans les vastes ténèbres ?
Ils éveillent des spectres aux membres décharnés,
Nus, assoiffés de sang ! Leurs murmures funèbres
Crissent horriblement à nos pauvres oreilles,
Et ils hantent nos nuits et nos fiévreux sommeils !
Démon abominable ! Tu as été vaincu,
Exilé et jeté dans le Vide extérieur,
Loin des peuples vivants. Ne nous tourmente plus !
Attends dehors. Attends que vienne ton heure.
Ne sens tu pas sur nos esprit
Un souffle doux nous consoler ?...
Il me semble que chaque nuit
T u ne cesses de téloigner.
Les échos tristement se noient
Avec un dernier tremblement
Illuminée, une rivière
Sécoule en frémissant de joie ;
Source de vie, flot bienfaisant,
Elle me réchauffe et méclaire.
Ne brise plus cette magie
Ombre et étoiles emmêlées
Unis dans deux yeux allumés
Scintillent dans la douce Nuit !....
Mort et carnage qui savancent,
Ombre effroyable, desséchée ;
Rire cruel, plein de démence,
Glaces et flammes emmêlées !
Orage, terreur de nuit noire !
Ton manteau de ténèbre qui couvrit Valimar
Hurle encore et toujours dans tous nos cauchemars !
Pourquoi reviennent-ils, tes échos déchaînés,
Résonant froidement dans les vastes ténèbres ?
Ils éveillent des spectres aux membres décharnés,
Nus, assoiffés de sang ! Leurs murmures funèbres
Crissent horriblement à nos pauvres oreilles,
Et ils hantent nos nuits et nos fiévreux sommeils !
Démon abominable ! Tu as été vaincu,
Exilé et jeté dans le Vide extérieur,
Loin des peuples vivants. Ne nous tourmente plus !
Attends dehors. Attends que vienne ton heure.
Ne sens tu pas sur nos esprit
Un souffle doux nous consoler ?...
Il me semble que chaque nuit
T u ne cesses de téloigner.
Les échos tristement se noient
Avec un dernier tremblement
Illuminée, une rivière
Sécoule en frémissant de joie ;
Source de vie, flot bienfaisant,
Elle me réchauffe et méclaire.
Ne brise plus cette magie
Ombre et étoiles emmêlées
Unis dans deux yeux allumés
Scintillent dans la douce Nuit !....