27.11.2005, 21:55
je ne résiste pas à cette analogie....
à écouter: l'éveil de la Nature, prélude orchestral de l'Or du Rhin, le premier volet de la Tétralogie de Wagner...
A mes yeux, les Ainur sont effectivent comme des musiciens solitaires de l'orchestre: ils ne peuvent connaitre parfaitement l'ensemble des parties de la musique, mais cela ne les empêchent pas de communier avec le "chef d'orchestre" et d'accéder à la grandeur de ce tourbillon!
et il a aussi dit que la musique de Wagner agissait directement sur les nerfs... c'est bien vrai!
à écouter aussi: la chevauchée des Walkiries, bien sur (La Walkirie, dernier acte,, il me semble) surtout qu'il est beaucoup question de chevaux ces temps ci
le prélude de Lohengrin ... époustouflant et boulversant... montre la face mélancolique de Wagner..
Squall-Estel, Baudelairien à la sauce Wagner (ou l'inverse)
à écouter: l'éveil de la Nature, prélude orchestral de l'Or du Rhin, le premier volet de la Tétralogie de Wagner...
A mes yeux, les Ainur sont effectivent comme des musiciens solitaires de l'orchestre: ils ne peuvent connaitre parfaitement l'ensemble des parties de la musique, mais cela ne les empêchent pas de communier avec le "chef d'orchestre" et d'accéder à la grandeur de ce tourbillon!
Baudelaire a écrit :La musique
La musique souvent me prend comme une mer !
Vers ma pâle étoile,
Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
Je mets à la voile ;
La poitrine en avant et les poumons gonflés
Comme de la toile,
J'escalade le dos des flots amoncelés
Que la nuit me voile ;
Je sens vibrer en moi toutes les passions
D'un vaisseau qui souffre ;
Le bon vent, la tempête et ses convulsions
Sur l'immense gouffre
Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir
De mon désespoir !
et il a aussi dit que la musique de Wagner agissait directement sur les nerfs... c'est bien vrai!
à écouter aussi: la chevauchée des Walkiries, bien sur (La Walkirie, dernier acte,, il me semble) surtout qu'il est beaucoup question de chevaux ces temps ci

le prélude de Lohengrin ... époustouflant et boulversant... montre la face mélancolique de Wagner..
Squall-Estel, Baudelairien à la sauce Wagner (ou l'inverse)