17.12.2013, 01:43
En disant fragile, je pensais peut-être à plus petit, beaucoup plus petit: un petit nain à coté du monstre Azog, ou un pauvre petit humain contre ces monstrueuses machines wargs. Même un elfe, pourtant nanti d'une force et d'une agilité supérieurement supérieures ne me semble pas faire le poids.
Moi, c'est évident, je n'aimerais pas rencontré un Azog dans un détour.
Et pourtant c'est Éowyn, une femme, qui tue le roi sorcier en lui plantant son épée dans le trou de son invisible visage. Le choix de Tolkien ! J'assume ! Et je crois aussi que cela est possible !
La faiblesse des êtres, la force d'une personne, tout ça est relatif ! car Tolkien l'a prouvé dans ces histoires. Et d'autres avant ou après lui.
Mais ce qui est bien avec les bouquins: c'est l'imaginaire du lecteur qui projette ce qu'il lit. Dans un film, on a plus l'imaginaire, on a la réalité du réalisateur. C'est une autre histoire.
Quand je vois tous ces monstres qui me semblent indestructibles, je me dis: Est-ce possible de les tuer aussi facilement ? Ils doivent être en carton-pâte, c'est pas possible !
J'ai répondu de mon mieux, en oubliant certainement des trucs importants ! Mais peut-être que quelqu'un reviendra sur le sujet et poursuivra de son analyse.
Moi, c'est évident, je n'aimerais pas rencontré un Azog dans un détour.
Et pourtant c'est Éowyn, une femme, qui tue le roi sorcier en lui plantant son épée dans le trou de son invisible visage. Le choix de Tolkien ! J'assume ! Et je crois aussi que cela est possible !
La faiblesse des êtres, la force d'une personne, tout ça est relatif ! car Tolkien l'a prouvé dans ces histoires. Et d'autres avant ou après lui.
Mais ce qui est bien avec les bouquins: c'est l'imaginaire du lecteur qui projette ce qu'il lit. Dans un film, on a plus l'imaginaire, on a la réalité du réalisateur. C'est une autre histoire.
Quand je vois tous ces monstres qui me semblent indestructibles, je me dis: Est-ce possible de les tuer aussi facilement ? Ils doivent être en carton-pâte, c'est pas possible !
J'ai répondu de mon mieux, en oubliant certainement des trucs importants ! Mais peut-être que quelqu'un reviendra sur le sujet et poursuivra de son analyse.
L'esprit devient ce qu'en font les pensées, car les pensées de quelqu'un déteignent sur son âme. Marc-Aurèle (121-180)