04.10.2013, 21:09
(04.10.2013, 18:54)Elendil a écrit : En revanche, je ne crois pas être d'accord pour l'élément -ta- que tu proposes, car il n'explique guère le n qui suit, d'autant que aya devient généralement aia et pas *anya en quenya.
Certes, et je suis également posé la question, mais nous manquons d'éléments concernant la composition de ce genre de mot.
(04.10.2013, 18:54)Elendil a écrit : J'ai tendance à penser que cet élément -tan- vient de tanna, tanwa « signe », dérivé de la racine TAN- « indiquer, montrer » (PE 17, p. 186).
Personnellement, j'en doute. Les éléments met- et yat- me semblent clairement traduire à eux seuls la signification de la suffixation.
Que penses-tu de la forme lámasampane et de l'écho possible avec mestanyatse (i.e. mestan(e)yatse) ?