14.11.2011, 08:31
(13.11.2011, 21:07)Elendil a écrit : 1) Quelle est la vraisemblance qu'Ar-Pharazôn, roi haïssant les Elfes et leurs amis et ayant prohibé l'usage du quenya, emploie un nom quenya pour son navire ? L'adûnaïque est bien plus vraisemblable.
La question serait plutôt à poser au narrateur qu'au Roi lui-même.
(13.11.2011, 21:07)Elendil a écrit : 2) La version précédente de ce nom, publiée en SD, p. 385, était Aglarrâma, qui est très clairement de l'adûnaïque
Tout à fait. Comme Nimruzân et Arbazân.
(13.11.2011, 21:07)Elendil a écrit : 3) On ne connaît justement aucune racine quenya qui pourrait signifier « mer » ou quelque chose d'équivalent dans le mot Alcarondas. Il faudrait donc supposer un terme n'apparaissant que dans ce seul mot.
ou qu'il possède une interprétation différente de celle fournie dans le texte.
(13.11.2011, 21:07)Elendil a écrit : 4) Christopher Tolkien n'indique nulle part que ce mot était supposé être du quenya.
Parce qu'il n'est pas sûr de son origine.
(13.11.2011, 21:07)Elendil a écrit : Bref, je me range à l'avis de Fauskanger et estime qu'il s'agit d'un mot adûnaïque (et par conséquent, qu'il faut corriger l'entrée de l'Encyclo).
Personnellement, même si je l'apprécie et que je respecte son travail, j'ai tout de même tendance à me méfier de certains de ses choix...
(13.11.2011, 21:07)Elendil a écrit : Par conséquent, la proximité entre Alcarondas et Alcarinquë pourrait être uniquement le fruit du hasard, ...
ou pas.
Je me permets d'insister sur le fait qu'aucune de ces réponses n'est péremptoire ou ne contredit les propos d'Elendil. Je souhaite simplement soumettre quelques autres pistes possibles.