03.05.2006, 19:21
Libre inspiration composée en alexandrins, les "e" finaux ne comptant point (ex : dans guerre on dira "guer" non "guer re").
NON NON !! Ce poème n'a pas rien à voir avec le monde de Tolkien, il s'agit tout simplement du point de vue d'un Dunlending ignorant qui aime son prochain, en effet on a jamais dit que les Dunlendings étaient tous sauvages, leurs chefs oui mais pas les autres. Pour ce poème, je me suis dit bon ! Les lecteurs en ont plein la vue avec Aragorn, Beren et Luthien (vdhsbvgsj me vénère cet accent ) et Legolas l'elfe. Alors me suis dit pourquoi pas ? Pourquoi pas parler d'un ptit paysan qui vit sa chouette chtite vie dans la campagne du pays de Dun... Tolkien à crée un monde pas un bref passage dans un monde non ??
Quel qu'il en soit, je vous souhaite une bonne lecture !! Vos commentaires seront les bienvenue !!
Les sombres tambours de guerre dans mes oreilles résonnent,
Ton visage souriant dans mon cur est gravé,
Et jespère que tous mes péchés tu les pardonnes,
Pour que je puisse mourir lesprit pur et lavé,
Je pleure tout ce que nous avons vécu ensemble,
Ces moments de bonheur dont se rappelle mon cur,
Mais le cor mappelle au massacre jai peur je tremble !
Pourquoi sest abattu sur nous un tel malheur ?
Envolés sont mes fantasmes,
Je ne vois plus que des miasmes,
Je suis tombé à la bataille,
Bien que mon amour soit sans faille,
La folie des Hommes je devrais toujours subir,
De leur orgueil je devrais toujours pâtir,
Jenrage de te perdre mon étoile ma belle lumière,
Et dêtre ton mari jaurais vraiment été fier,
Les jeunes hérauts minterpellent je dois y aller,
Mais avant je tarrache un magnifique baiser,
Nos larmes se mêlent tu mavoues aussi ton amour,
Nous nous souvenons notre rencontre le premier jour,
Envolés sont mes fantasmes,
Je ne vois plus que des miasmes,
Je suis tombé à la bataille,
Bien que mon amour soit sans faille,
Maintenant que je gis à terre je pense à toi,
Mes dernières heures te sont à jamais accordées,
Toujours jai eu en toi une inébranlable foi,
Adieu celle que jaime je pars ne soit attristée,
Envolés sont mes fantasmes,
Je ne vois plus que des miasmes,
Je suis tombé à la bataille,
Bien que mon amour soit sans faille.
NON NON !! Ce poème n'a pas rien à voir avec le monde de Tolkien, il s'agit tout simplement du point de vue d'un Dunlending ignorant qui aime son prochain, en effet on a jamais dit que les Dunlendings étaient tous sauvages, leurs chefs oui mais pas les autres. Pour ce poème, je me suis dit bon ! Les lecteurs en ont plein la vue avec Aragorn, Beren et Luthien (vdhsbvgsj me vénère cet accent ) et Legolas l'elfe. Alors me suis dit pourquoi pas ? Pourquoi pas parler d'un ptit paysan qui vit sa chouette chtite vie dans la campagne du pays de Dun... Tolkien à crée un monde pas un bref passage dans un monde non ??
Quel qu'il en soit, je vous souhaite une bonne lecture !! Vos commentaires seront les bienvenue !!
Les sombres tambours de guerre dans mes oreilles résonnent,
Ton visage souriant dans mon cur est gravé,
Et jespère que tous mes péchés tu les pardonnes,
Pour que je puisse mourir lesprit pur et lavé,
Je pleure tout ce que nous avons vécu ensemble,
Ces moments de bonheur dont se rappelle mon cur,
Mais le cor mappelle au massacre jai peur je tremble !
Pourquoi sest abattu sur nous un tel malheur ?
Envolés sont mes fantasmes,
Je ne vois plus que des miasmes,
Je suis tombé à la bataille,
Bien que mon amour soit sans faille,
La folie des Hommes je devrais toujours subir,
De leur orgueil je devrais toujours pâtir,
Jenrage de te perdre mon étoile ma belle lumière,
Et dêtre ton mari jaurais vraiment été fier,
Les jeunes hérauts minterpellent je dois y aller,
Mais avant je tarrache un magnifique baiser,
Nos larmes se mêlent tu mavoues aussi ton amour,
Nous nous souvenons notre rencontre le premier jour,
Envolés sont mes fantasmes,
Je ne vois plus que des miasmes,
Je suis tombé à la bataille,
Bien que mon amour soit sans faille,
Maintenant que je gis à terre je pense à toi,
Mes dernières heures te sont à jamais accordées,
Toujours jai eu en toi une inébranlable foi,
Adieu celle que jaime je pars ne soit attristée,
Envolés sont mes fantasmes,
Je ne vois plus que des miasmes,
Je suis tombé à la bataille,
Bien que mon amour soit sans faille.