14.04.2006, 19:25
Non, May, je pense que tu te trompes. Pour citer Beregrond : "Mais les choses pourraient changer avec le retour de Faramir. Il est hardi, plus hardi que beaucoup ne le pensent ; car, de nos jours, les hommes sont lents à croire qu'un capitaine puisse être sage et versé dans la science des archives et des chansons, comme il l'est, et n'en être pas moins homme d'audace et de jugement rapide sur le champ de bataille. Mais tel est Faramir. Moins aventureux et ardent que Boromir, mais non moins résolu."
Quant à Pippin : "Mais soudain, à l'égard de Faramir, son coeur fut étrangement touché d'un sentiment qu'il n'avait jamais connu jusque là. Il voyait devant lui un homme doué d'un air de haute noblesse, telle qu'en montrait parfois Aragorn, moins haute peut-être, mais ausi moins imprévue et vague : un des Rois des Hommes nés à une époque ultérieure, mais touché par la sagesse et la tristesse de la Race Ancienne. Il savait à présent pourquoi Beregond prononçait son nom avec amour. C'était un Capitaine que les hommes suivaient volonteiers, qu'il suivrait lui-même, fût-ce sous l'ombre des ailes noires."
Et n'oublions pas ce que Mablung, l'un des soldats accompagnant Faramir en Ithilien disait de lui : "La route passe peut-être, mais eux ne passeront pas ! Pas tant que Faramir sera Capitaine."
Je pense, bien au contraire, que Faramir est le sujet d'une presque dévotion de la part, sinon de son peuple en général (encore que son arrivée à Minas Tirith soit particulièrement acclamée), du moins de ses hommes.
Quant à Pippin : "Mais soudain, à l'égard de Faramir, son coeur fut étrangement touché d'un sentiment qu'il n'avait jamais connu jusque là. Il voyait devant lui un homme doué d'un air de haute noblesse, telle qu'en montrait parfois Aragorn, moins haute peut-être, mais ausi moins imprévue et vague : un des Rois des Hommes nés à une époque ultérieure, mais touché par la sagesse et la tristesse de la Race Ancienne. Il savait à présent pourquoi Beregond prononçait son nom avec amour. C'était un Capitaine que les hommes suivaient volonteiers, qu'il suivrait lui-même, fût-ce sous l'ombre des ailes noires."
Et n'oublions pas ce que Mablung, l'un des soldats accompagnant Faramir en Ithilien disait de lui : "La route passe peut-être, mais eux ne passeront pas ! Pas tant que Faramir sera Capitaine."
Je pense, bien au contraire, que Faramir est le sujet d'une presque dévotion de la part, sinon de son peuple en général (encore que son arrivée à Minas Tirith soit particulièrement acclamée), du moins de ses hommes.