12.01.2020, 19:51
Bonjour,
J'espère que je ne poste pas dans une section inadaptée...
J'ai écrit ce poème qui est en réalité une chanson, j'ose aujourd'hui vous la soumettre, j'espère que vous en prendrez plaisir.
Vous trouverez, j'en suis certain, à qui elle fait référence.
(J'ai également mis cette chanson en musique mais je n'ai pas encore vérifié si l'on peut placer des mp3 ou mp4 dans les posts du forum.)
J'espère que je ne poste pas dans une section inadaptée...
J'ai écrit ce poème qui est en réalité une chanson, j'ose aujourd'hui vous la soumettre, j'espère que vous en prendrez plaisir.
Vous trouverez, j'en suis certain, à qui elle fait référence.
(J'ai également mis cette chanson en musique mais je n'ai pas encore vérifié si l'on peut placer des mp3 ou mp4 dans les posts du forum.)
Le Dixième Compagnon
Il est de ces héros qui n'ont pas l'air d'en être, leur mission est seconde, peu sont mis à l'honneur. Voici ce que chantait, un soir lourd de noirceur, l'un de ces adjuvants à la gloire discrète :
J’ai rêvé qu’au bois d’or je posais mes sabots,
M’abreuvant à l’eau pure de La Nimrodel,
Comme j’aurais aimé Dame Galadriel,
A l’ombre d’un talan prendre un peu de repos.
Mais La Moria, hélas, me tint closes ses portes
M’abandonnant aux loups, enragés par la faim,
Quel courage il fallut pour frayer le chemin,
Qui me ramena sauf vers les gens de ma sorte.
Ainsi revins-je à Bree, par les bois, par les combes,
Trouvant auprès de Nob un secours salvateur.
C’est là que, Maître Sam, je vous attends vainqueur,
Car je sais qu’à la fin, c’est l’anneau qui succombe.
M’abreuvant à l’eau pure de La Nimrodel,
Comme j’aurais aimé Dame Galadriel,
A l’ombre d’un talan prendre un peu de repos.
Mais La Moria, hélas, me tint closes ses portes
M’abandonnant aux loups, enragés par la faim,
Quel courage il fallut pour frayer le chemin,
Qui me ramena sauf vers les gens de ma sorte.
Ainsi revins-je à Bree, par les bois, par les combes,
Trouvant auprès de Nob un secours salvateur.
C’est là que, Maître Sam, je vous attends vainqueur,
Car je sais qu’à la fin, c’est l’anneau qui succombe.
Astaldo Le Vaillant