Ô cher Bilbo, tu vécu bien des aventures,
Toi qui n'étais certes pas destiné à ça ;
Tu vivais en solitaire dans ta masure,
Fumant la pipe en lisant près du feu de bois.
Serait-ce ces lectures qui t'ont essoufflé
La fougue pour affronter de tels défis ?
Orques, Trolls, sans oublier les Araignées,
Sur ton chemin, se sont succédés.
Heureusement, tu n'étais pas seul dans l'affaire,
Tes équipiers nains t'ont grandement fait confiance,
En route jusqu'à la Montagne Solitaire,
Pour y déloger Smaug et toute sa véhémence.
Si fait, il s'en suivit une dure bataille,
Où cinq Armées s'affrontèrent avec rage,
Revendiquant les monceaux d'or et de pierraille,
Stockés en Erebor, sans y faire de partage.
De retour en Comté avec l'Anneau Unique,
Subtilisé à Gollum lors de ton périple,
Torse bombé et d'un pas fier et héroïque,
Te voilà passant ta porte sans condisciple.
Malheureusement ce chapitre s'est refermé,
En même temps que la lourde porte de ton logis,
Te laissant, à beaucoup d'autres quêtes, rêver,
Et aux grandes richesses amoncelées ainsi.
N'étant plus vraiment toi-même et envers les gens,
Tu entrepris divers voyages par le monde,
Disparaissant, soudain, comme par enchantement,
Les laissant dans une incompréhension profonde.
C'est à Frodon, que tu donnas ton héritage,
Ainsi que, malgré toi, cet anneau maléfique,
Ce neveu recueilli lors de son plus jeune âge,
Qui vivra, aussi, des aventures fantastiques.
Vieux, usé, tu te retiras à Fendeval,
Où les elfes te firent tant et tant d'honneur,
Pour ce long combat entre le bien et le mal ;
Pour beaucoup tu serras à jamais dans les cœurs.
Maintenant à mon tour, par ces strophes, ces vers,
De te rendre cet hommage bien mérité,
En profitant du jour du ton anniversaire,
Bilbo Bessac, dans les mémoires tu vas rester.
Toi qui n'étais certes pas destiné à ça ;
Tu vivais en solitaire dans ta masure,
Fumant la pipe en lisant près du feu de bois.
Serait-ce ces lectures qui t'ont essoufflé
La fougue pour affronter de tels défis ?
Orques, Trolls, sans oublier les Araignées,
Sur ton chemin, se sont succédés.
Heureusement, tu n'étais pas seul dans l'affaire,
Tes équipiers nains t'ont grandement fait confiance,
En route jusqu'à la Montagne Solitaire,
Pour y déloger Smaug et toute sa véhémence.
Si fait, il s'en suivit une dure bataille,
Où cinq Armées s'affrontèrent avec rage,
Revendiquant les monceaux d'or et de pierraille,
Stockés en Erebor, sans y faire de partage.
De retour en Comté avec l'Anneau Unique,
Subtilisé à Gollum lors de ton périple,
Torse bombé et d'un pas fier et héroïque,
Te voilà passant ta porte sans condisciple.
Malheureusement ce chapitre s'est refermé,
En même temps que la lourde porte de ton logis,
Te laissant, à beaucoup d'autres quêtes, rêver,
Et aux grandes richesses amoncelées ainsi.
N'étant plus vraiment toi-même et envers les gens,
Tu entrepris divers voyages par le monde,
Disparaissant, soudain, comme par enchantement,
Les laissant dans une incompréhension profonde.
C'est à Frodon, que tu donnas ton héritage,
Ainsi que, malgré toi, cet anneau maléfique,
Ce neveu recueilli lors de son plus jeune âge,
Qui vivra, aussi, des aventures fantastiques.
Vieux, usé, tu te retiras à Fendeval,
Où les elfes te firent tant et tant d'honneur,
Pour ce long combat entre le bien et le mal ;
Pour beaucoup tu serras à jamais dans les cœurs.
Maintenant à mon tour, par ces strophes, ces vers,
De te rendre cet hommage bien mérité,
En profitant du jour du ton anniversaire,
Bilbo Bessac, dans les mémoires tu vas rester.