03.04.2003, 16:00
Plaine nue, aride, rougeoyante,
Volcans crachant leurs torrents de lave ;
Flots ondulants, se coulant, langoureux
Semblants si beaux, beauté flamboyante,
Etincelants dans lombre de la nuit
Paraissant un instant porteurs de vie
Mais à la lumière crue du soleil
La vérité est alors révélée
Par des tourbillons de fumée sombre
Montant sans fin de la terre craquelée,
Brûlée jusquà los et recouverte
Par un tapis de cendres grisâtres
Puis tout refroidit, le sol se durcit,
La lave se fragmente et noircit
Puis disparaît dans le paysage,
Noir sur noir, desséché sur desséché.
Les jours se suivent et se ressemblent
Dans ce désert volcanique et mort
Sous lil malfaisant de la Tour Sombre
Au pays de Mordor où sétendent les Ombres
Volcans crachant leurs torrents de lave ;
Flots ondulants, se coulant, langoureux
Semblants si beaux, beauté flamboyante,
Etincelants dans lombre de la nuit
Paraissant un instant porteurs de vie
Mais à la lumière crue du soleil
La vérité est alors révélée
Par des tourbillons de fumée sombre
Montant sans fin de la terre craquelée,
Brûlée jusquà los et recouverte
Par un tapis de cendres grisâtres
Puis tout refroidit, le sol se durcit,
La lave se fragmente et noircit
Puis disparaît dans le paysage,
Noir sur noir, desséché sur desséché.
Les jours se suivent et se ressemblent
Dans ce désert volcanique et mort
Sous lil malfaisant de la Tour Sombre
Au pays de Mordor où sétendent les Ombres