Bien, je sais qu’un essai de ma part est chose assez surprenante en vue des collaborations faites jusqu’à présent. Toutefois, en recherchant précédemment un truc que j’ai fais et qui finalement n’étais même pas sur ce forum (préparation d’une petite planche de BD en cours en l’occurrence), je suis tombé sur une question que je me suis posé il y’a fort longtemps…
Diantre donc, où veut il en venir cet affreux bonhomme vert ? Sans doute à voir si lui aussi est capable de réussir quelque chose de sérieux et sensé en développant le sujet… c’est parti pour :
L’INFLUENCE DE LA THEORIE DES CYCLES DANS L’ŒUVRE DE TOLKIEN
En se penchant sur la chronologie des événement qui se déroulent sur la Terre d’Arda de JRR Tolkien, on se rends compte d’une dégradation successive de la qualité des êtres qui la compose. En effet, plus on s’avance dans le temps, plus ces derniers viennent à devenir faibles, posséder un jugement pervertis et sont aptes à faire des erreurs.
Or, on peut noter une grande similitude entre cette constatation et certains autres écrits comme des documents issu de diverses civilisations respectant ce schéma (Indienne d’Asie avec les théories Bouddhistes ou d’Amérique considérant que l’univers est composé de cycles qui commencent à leur apogée et se dégrade au cours du temps) voire, d’un point de vue plus lointain, économique avec la théorie des cycles de Hayek (1899-1992) respectant un schéma assez similaire.
Toutefois les écrits du poète Hésiode (8ième siècle avant JC) dans son œuvre les Travaux et les Jours ou les Métamorphoses d’Ovide (43 avant JC-17 après JC) où divers âges qui composent un cycle se suivent marquent le plus de similitudes avec l’œuvre de JRR Tolkien..On remarque dans ces deux cas que le temps qui s’écoule laisse place à un affaiblissement progressif des capacités des individus.
Nous allons donc étudier comparativement les œuvres d’Hésiode, qui est celle qui colle le mieux à cette constatation, et de Tolkien pour souligner cette similitude et constater le pervertissement des êtres peuplant les Terres du Milieu.
Le poète distingue cinq races d’humains qui se succèdent et dont l’existence passe de la condition idéale à un point beaucoup moins enviable. C’est en suivant ces cinq races que le sujet sera développé.
LA RACE D’OR :
« Ils vivaient comme les dieux, le coeur libre de soucis et loin des peines et de la misère. La misérable vieillesse ne les atteignait pas et, les jambes et les bras toujours de force égale, ils prenaient du bon temps dans les festins, à l'écart de tous les maux. Ils mouraient comme s'ils succombaient au sommeil […] » (Hésiode)
LES ELFES : "Car les Elfes ne meurent pas que ne meure le monde, à moins qu'ils ne soient tués ou qu'un deuil ne les frappe (à ces deux formes de mort ils semblent être soumis). L'âge laisse leur force intacte, à moins qu'ils ne se lassent de mille et mille siècles, et quand ils meurent ils se retrouvent à Valinor, dans les Palais de Mandos, d'où ils peuvent sortir au bout d'un certain temps." (Le Silmarillion)
- Il est aisé de comparer cette race d’or avec les Elfes. Les premiers Nés, aînés des Enfants d’Iluvatar jouissent d’un statut similaire à ces êtes décrit par notre poète : une durée de vie exceptionnelle, une force et capacité physique surprenante et un moral fantastique.
- Notons au passage qu’Iluvatar pourrait être comparé à Cronos, dieu qui créa ces premiers êtres et leur insuffla cette quasi perfection. La similitude va même au-delà de ce point : elle concerne aussi quelques races présentes en Terre du Milieu. En effet, les races qui pourraient être dites « inférieures » de par ce développement ont été parfois crées par d’autres dieux, tout comme les races présentes dans les Travaux et les Jours :
- Les Nains furent crée par Aulë (nous y reviendrons dans la Race d’Argent)
- Les Orques furent crée par Melkor (Nous y reviendrons dans la Race d’Airain)
LA RACE D’ARGENT :
« A la race d'or, ces hommes ne ressemblaient ni par le physique ni par l'esprit. Ils étaient incapables de s'abstenir de la folle démesure, ils ne voulaient pas servir les immortels ni faire des sacrifices sur les autels sacrés des bienheureux, ce qui est la loi pour les hommes civilisés. Et Zeus les fit disparaître, parce qu'ils ne rendaient pas les honneurs aux dieux bienheureux. » (Hésiode)
LES NAINS : "Et il créa les Nains tels qu'ils sont encore aujourd'hui, car l'apparence des Enfants à venir n'était pas claire à son esprit et la Terre était encore au pouvoir de Melkor : il souhaitait donc qu'ils fussent robustes et résistants." Le Silmarillion
- La similitude avec la destruction qu’Eru Illuvatar exigea des Nains d’Aulë et ce que Zeus fis pour réduire cette race à néant est un clin d’œil saisissant entre les deux œuvres. Toutefois cela s’arrête à ce niveau, les Nains ayant eu le droit à une reconsidération de leur droit d’exister de la part d’Eru.
- Ceci est aussi sans doute dû au fait que, contrairement à l’œuvre poétique, les différentes races imaginées par Tolkien durent se côtoyer. Cela créa des amitiés ou conflits selon le cas, le deuxième point accentuant davantage la dégradation progressive des contacts et relations dans le monde d’Arda, tout comme le souligne cet essai.
LA RACE D’AIRAIN OU DE BRONZE :
« Elle ne ressemblait en rien à la race d'argent. elle était terrifiante et robuste. Elle se destinait aux funestes oeuvres d'Arès et aux actes de démesure. Ils ne se nourrissaient pas de pain, ils avaient le coeur dur comme le fer le plus dur, terribles à voir. Grande était leur force et leurs bras invincibles partaient de leurs épaules reposant sur des corps vigoureux. Malgré leur aspect effrayant, la noire mort les prit, et ils quittèrent la lumière éclatante du soleil. » (Hésiode)
HOMMES
HOBBITS "Il n'y a guère de magie chez eux que celle, toute ordinaire et courante, qui leur permet de disparaître sans bruit et rapidement quand de grands idiots comme vous et moi s'approchent lourdement, en faisant un bruit d'éléphant qu'il peuvent entendre d'un kilomètre." Bilbo le Hobbit
LA RACE DES HEROS :
« Plus juste et plus noble, race divine des héros qu'on appelle demi-dieux. C'est la génération qui nous a précédés sur la terre infinie. Ces hommes-là, c'est la guerre et la bataille destructrice qui les perdit. C'est là que la mort, la fin, les enveloppa. A d'autres Zeus le père donna une existence et un mode de vie à l'écart du genre humain, dans un pays lointain. Ceux-là vivent, le coeur libre de soucis, dans les îles des bienheureux » (Hésiode)
RACES DIVERSES ANTIMALEFIQUES :
- Les héros ne manquent pas dans les récits de JRR Tolkien. Toutefois, sans vouloir donner de noms précis qui ne formerait qu’une liste de noms issus de diverses nationalités et ayant accomplis des exploits plus ou moins importants, on remarque que les héros sont généralement issus des races s’opposant aux plans maléfiques. Ils font généralement partis des races précédemment cités, la race des héros étant davantage un nom englobant tous ces personnages qui ont marqués l’histoire de la Terre du Milieu qu’une population bien précise.
- Au passage, on notera aussi une similitude assez déroutante entre les héros vivant à l’écart du monde et une certaine île pleine de mystères où les Elfes vont passer leurs derniers jours, rejoignant Valars.
LA RACE DE FER :
« A leurs parents, ils ne montreront que mépris. Ils s'exprimeront en paroles rudes, les méchants ! Aux vieillards qui les ont nourris ils refuseront les aliments'. Nul prix ne s'attachera plus au serment tenu, au juste, au bien : c'est à l'artisan de crimes, à l'homme tout démesure qu'iront leurs respects ; le seul droit sera la force, la conscience n'existera plus. Le lâche attaquera, le brave avec des mots tortueux, qu'il appuiera d'un faux serment. Aux pas de tous les misérables humains s'attachera la jalousie, au langage amer, au front haineux, qui se plaît au mal. » (Hésiode)
ORQUES ET ASSIMILES "Pourtant, on dit en Eressëa que tous ceux des Quendi qui tombèrent entre les mains de Melkor avant le démantèlement d'Utumno furent jetés en prison, qu'ils furent corrompus et réduits en esclavage après de longues et savantes tortures, et c'est ainsi que Melkor créa la race hideuse des Orques."
- L’essentiel est cité. Des êtres violents issus de la pire perversion, collant parfaitement à cette image.
NÚMENOREENS
- Si on ne tiens pas compte des débuts plutôt positifs de ce peuple, on remarque que les similitudes sont aussi assez troublantes. Sauron accomplit un renversement de situation en convertissant Ar-Pharazôn à sa cause. La perversion des Númenoreens n’est que mentale mais le résultat est tout de même édifiant.
CONCLUSION
A noter qu’à la fin de ces ages et races viendra sans nul doute la fin du monde, une perversion encore accrue étant assez inimaginable. Or Tolkien annonce dans certains de ses écrits cette fin mais, tout comme ce fut le cas pour Hésiode, de manière évasive et pour un avenir lointain.
A savoir qu'a cet essai vont être ajouté des images que je suis en train de faire en ce moment même ou sont en cours de scann'. Il est vrai que je manque un tantinet de citations pour ce sujet et que je poste ceci de suite après l'avoir écrit donc certaine formules pourront sembler redondantes, veuillez m’en excuser. Je reviendrais modifier et ajouter des éléments après votre verdict car il n'est pas impossible que j'ai fais de grossières erreurs!
Merci de la lecture !
Diantre donc, où veut il en venir cet affreux bonhomme vert ? Sans doute à voir si lui aussi est capable de réussir quelque chose de sérieux et sensé en développant le sujet… c’est parti pour :
L’INFLUENCE DE LA THEORIE DES CYCLES DANS L’ŒUVRE DE TOLKIEN
En se penchant sur la chronologie des événement qui se déroulent sur la Terre d’Arda de JRR Tolkien, on se rends compte d’une dégradation successive de la qualité des êtres qui la compose. En effet, plus on s’avance dans le temps, plus ces derniers viennent à devenir faibles, posséder un jugement pervertis et sont aptes à faire des erreurs.
Or, on peut noter une grande similitude entre cette constatation et certains autres écrits comme des documents issu de diverses civilisations respectant ce schéma (Indienne d’Asie avec les théories Bouddhistes ou d’Amérique considérant que l’univers est composé de cycles qui commencent à leur apogée et se dégrade au cours du temps) voire, d’un point de vue plus lointain, économique avec la théorie des cycles de Hayek (1899-1992) respectant un schéma assez similaire.
Toutefois les écrits du poète Hésiode (8ième siècle avant JC) dans son œuvre les Travaux et les Jours ou les Métamorphoses d’Ovide (43 avant JC-17 après JC) où divers âges qui composent un cycle se suivent marquent le plus de similitudes avec l’œuvre de JRR Tolkien..On remarque dans ces deux cas que le temps qui s’écoule laisse place à un affaiblissement progressif des capacités des individus.
Nous allons donc étudier comparativement les œuvres d’Hésiode, qui est celle qui colle le mieux à cette constatation, et de Tolkien pour souligner cette similitude et constater le pervertissement des êtres peuplant les Terres du Milieu.
Le poète distingue cinq races d’humains qui se succèdent et dont l’existence passe de la condition idéale à un point beaucoup moins enviable. C’est en suivant ces cinq races que le sujet sera développé.
LA RACE D’OR :
« Ils vivaient comme les dieux, le coeur libre de soucis et loin des peines et de la misère. La misérable vieillesse ne les atteignait pas et, les jambes et les bras toujours de force égale, ils prenaient du bon temps dans les festins, à l'écart de tous les maux. Ils mouraient comme s'ils succombaient au sommeil […] » (Hésiode)
LES ELFES : "Car les Elfes ne meurent pas que ne meure le monde, à moins qu'ils ne soient tués ou qu'un deuil ne les frappe (à ces deux formes de mort ils semblent être soumis). L'âge laisse leur force intacte, à moins qu'ils ne se lassent de mille et mille siècles, et quand ils meurent ils se retrouvent à Valinor, dans les Palais de Mandos, d'où ils peuvent sortir au bout d'un certain temps." (Le Silmarillion)
- Il est aisé de comparer cette race d’or avec les Elfes. Les premiers Nés, aînés des Enfants d’Iluvatar jouissent d’un statut similaire à ces êtes décrit par notre poète : une durée de vie exceptionnelle, une force et capacité physique surprenante et un moral fantastique.
- Notons au passage qu’Iluvatar pourrait être comparé à Cronos, dieu qui créa ces premiers êtres et leur insuffla cette quasi perfection. La similitude va même au-delà de ce point : elle concerne aussi quelques races présentes en Terre du Milieu. En effet, les races qui pourraient être dites « inférieures » de par ce développement ont été parfois crées par d’autres dieux, tout comme les races présentes dans les Travaux et les Jours :
- Les Nains furent crée par Aulë (nous y reviendrons dans la Race d’Argent)
- Les Orques furent crée par Melkor (Nous y reviendrons dans la Race d’Airain)
LA RACE D’ARGENT :
« A la race d'or, ces hommes ne ressemblaient ni par le physique ni par l'esprit. Ils étaient incapables de s'abstenir de la folle démesure, ils ne voulaient pas servir les immortels ni faire des sacrifices sur les autels sacrés des bienheureux, ce qui est la loi pour les hommes civilisés. Et Zeus les fit disparaître, parce qu'ils ne rendaient pas les honneurs aux dieux bienheureux. » (Hésiode)
LES NAINS : "Et il créa les Nains tels qu'ils sont encore aujourd'hui, car l'apparence des Enfants à venir n'était pas claire à son esprit et la Terre était encore au pouvoir de Melkor : il souhaitait donc qu'ils fussent robustes et résistants." Le Silmarillion
- La similitude avec la destruction qu’Eru Illuvatar exigea des Nains d’Aulë et ce que Zeus fis pour réduire cette race à néant est un clin d’œil saisissant entre les deux œuvres. Toutefois cela s’arrête à ce niveau, les Nains ayant eu le droit à une reconsidération de leur droit d’exister de la part d’Eru.
- Ceci est aussi sans doute dû au fait que, contrairement à l’œuvre poétique, les différentes races imaginées par Tolkien durent se côtoyer. Cela créa des amitiés ou conflits selon le cas, le deuxième point accentuant davantage la dégradation progressive des contacts et relations dans le monde d’Arda, tout comme le souligne cet essai.
LA RACE D’AIRAIN OU DE BRONZE :
« Elle ne ressemblait en rien à la race d'argent. elle était terrifiante et robuste. Elle se destinait aux funestes oeuvres d'Arès et aux actes de démesure. Ils ne se nourrissaient pas de pain, ils avaient le coeur dur comme le fer le plus dur, terribles à voir. Grande était leur force et leurs bras invincibles partaient de leurs épaules reposant sur des corps vigoureux. Malgré leur aspect effrayant, la noire mort les prit, et ils quittèrent la lumière éclatante du soleil. » (Hésiode)
HOMMES
HOBBITS "Il n'y a guère de magie chez eux que celle, toute ordinaire et courante, qui leur permet de disparaître sans bruit et rapidement quand de grands idiots comme vous et moi s'approchent lourdement, en faisant un bruit d'éléphant qu'il peuvent entendre d'un kilomètre." Bilbo le Hobbit
LA RACE DES HEROS :
« Plus juste et plus noble, race divine des héros qu'on appelle demi-dieux. C'est la génération qui nous a précédés sur la terre infinie. Ces hommes-là, c'est la guerre et la bataille destructrice qui les perdit. C'est là que la mort, la fin, les enveloppa. A d'autres Zeus le père donna une existence et un mode de vie à l'écart du genre humain, dans un pays lointain. Ceux-là vivent, le coeur libre de soucis, dans les îles des bienheureux » (Hésiode)
RACES DIVERSES ANTIMALEFIQUES :
- Les héros ne manquent pas dans les récits de JRR Tolkien. Toutefois, sans vouloir donner de noms précis qui ne formerait qu’une liste de noms issus de diverses nationalités et ayant accomplis des exploits plus ou moins importants, on remarque que les héros sont généralement issus des races s’opposant aux plans maléfiques. Ils font généralement partis des races précédemment cités, la race des héros étant davantage un nom englobant tous ces personnages qui ont marqués l’histoire de la Terre du Milieu qu’une population bien précise.
- Au passage, on notera aussi une similitude assez déroutante entre les héros vivant à l’écart du monde et une certaine île pleine de mystères où les Elfes vont passer leurs derniers jours, rejoignant Valars.
LA RACE DE FER :
« A leurs parents, ils ne montreront que mépris. Ils s'exprimeront en paroles rudes, les méchants ! Aux vieillards qui les ont nourris ils refuseront les aliments'. Nul prix ne s'attachera plus au serment tenu, au juste, au bien : c'est à l'artisan de crimes, à l'homme tout démesure qu'iront leurs respects ; le seul droit sera la force, la conscience n'existera plus. Le lâche attaquera, le brave avec des mots tortueux, qu'il appuiera d'un faux serment. Aux pas de tous les misérables humains s'attachera la jalousie, au langage amer, au front haineux, qui se plaît au mal. » (Hésiode)
ORQUES ET ASSIMILES "Pourtant, on dit en Eressëa que tous ceux des Quendi qui tombèrent entre les mains de Melkor avant le démantèlement d'Utumno furent jetés en prison, qu'ils furent corrompus et réduits en esclavage après de longues et savantes tortures, et c'est ainsi que Melkor créa la race hideuse des Orques."
- L’essentiel est cité. Des êtres violents issus de la pire perversion, collant parfaitement à cette image.
NÚMENOREENS
- Si on ne tiens pas compte des débuts plutôt positifs de ce peuple, on remarque que les similitudes sont aussi assez troublantes. Sauron accomplit un renversement de situation en convertissant Ar-Pharazôn à sa cause. La perversion des Númenoreens n’est que mentale mais le résultat est tout de même édifiant.
CONCLUSION
A noter qu’à la fin de ces ages et races viendra sans nul doute la fin du monde, une perversion encore accrue étant assez inimaginable. Or Tolkien annonce dans certains de ses écrits cette fin mais, tout comme ce fut le cas pour Hésiode, de manière évasive et pour un avenir lointain.
A savoir qu'a cet essai vont être ajouté des images que je suis en train de faire en ce moment même ou sont en cours de scann'. Il est vrai que je manque un tantinet de citations pour ce sujet et que je poste ceci de suite après l'avoir écrit donc certaine formules pourront sembler redondantes, veuillez m’en excuser. Je reviendrais modifier et ajouter des éléments après votre verdict car il n'est pas impossible que j'ai fais de grossières erreurs!
Merci de la lecture !