23.09.2021, 08:22
Le texte (NM, p. 310-311) s'intéresse en premier lieu aux nombre de jours d'absence d'Eöl lors de son voyage à Nogrod. Pour cela, Tolkien discute la vitesse et l'endurance des chevaux elfiques, puis le nombre d'heures et les habitudes de voyage d'Eöl. Il conclut qu'Eöl devait chevaucher quotidiennement environ 9 heures, dont 1 heure 30 de pauses, parcourant confortablement 70 miles ou moins dans la journée. Ou plutôt dans la nuit, car à ce point, Tolkien écrit :
Je traduirai au besoin (pas le temps maintenant).
L'un dans l'autre, je ne pense pas qu'il faille déduire trop de conclusions précises sur le plan géographique : Tolkien utilise "approximativement" pour les heures de coucher et de lever du soleil, ainsi que pour la latitude. Il ne dit pas si c'est près de Nan Elmoth ou de Nogrod. Je doute d'ailleurs que les heures de coucher et de lever du soleil varient très significativement à une centaine de kilomètres près...
J.R.R. Tolkien a écrit :Eöl was by choice a night-rider, being night-sighted, and training his riding horses to suit him. (But he had, of course, no fear of being abroad by day, or at need of riding in sunlight.) At Midsummer* when sunset was about 8 pm and sunrise about 4 am, he would start about 7:30 in late evening and go on about 4:30 in early morning (9 hours).
*Assuming a latitude of about 50° N, and an astronomical situation not greatly different from ours.
Je traduirai au besoin (pas le temps maintenant).
L'un dans l'autre, je ne pense pas qu'il faille déduire trop de conclusions précises sur le plan géographique : Tolkien utilise "approximativement" pour les heures de coucher et de lever du soleil, ainsi que pour la latitude. Il ne dit pas si c'est près de Nan Elmoth ou de Nogrod. Je doute d'ailleurs que les heures de coucher et de lever du soleil varient très significativement à une centaine de kilomètres près...
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland