(28.05.2015, 19:44)Baradon a écrit : La rime proposée est meilleure.
Néanmoins, il faut garder le alors avant le firent sinon il manque un pied car il est très difficile de prononcer le e de firent quand il est suivi de alors.
Euh, je ne vois pas pourquoi si la liaison requise est faite ? Fi-re-(n)ta-lors-ser-ment a bien les six syllabes requises dans un hémistiche. Les deux variantes ont le compte de syllabes nécessaire. Il me semble que c'est surtout la mélodie qui permettra de trancher, si l'on en trouve une à la fin : mieux vaudra lors éviter de mettre le e sur un temps fort.
Voici mon couplet pour un autre personnage :
Envoyé d'Outremer soutenir le combat,
C'est face au démon-feu que sous terre il tomba.
Mais le gris pèlerin fut rappelé au monde :
Sa puissance et sagesse accrues, il prit le blanc.
Cavalier de Gripoil et champion de son camp,
Il en fit la victoire et repassa les ondes.
C'est face au démon-feu que sous terre il tomba.
Mais le gris pèlerin fut rappelé au monde :
Sa puissance et sagesse accrues, il prit le blanc.
Cavalier de Gripoil et champion de son camp,
Il en fit la victoire et repassa les ondes.
Le langage a à la fois renforcé l'imagination et a été libéré par elle. Qui saura dire si l'adjectif libre a créé des images belles et bizarres ou si l'adjectif a été libéré par de belles et étranges images de l'esprit ? - J. R. R. Tolkien, Un vice secret